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proposé un contrôle des bateaux qui emmènent ces
malheureux
à travers la mer Rouge et le golfe Persique. Le délégué de l’URSS en
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r l’enfant, dont il épouse d’abord la mère. Cette
malheureuse
mourra bientôt, renversée par une auto. H. H. emmène Lolita dans un h
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amais connu ce que j’appelle « l’amour réciproque
malheureux
». Lolita n’a jamais répondu à la passion tendre et sauvage de son aî
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quer qu’il y a dix fautes par mot dans cette page
malheureuse
? Erreur sur l’Allemagne, erreur sur la France, erreur sur leurs rela
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». Kierkegaard a vécu l’amour unique, la passion
malheureuse
de Tristan, mais ses premiers grands livres pseudonymes évoquent le v
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n’avoir pas vécu sans aimer, « quoique d’un amour
malheureux
». Reliée par ces derniers mots à la vie trop réelle du Solitaire, la
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es femmes, mais encore il les rend heureuses — et
malheureuses
; chose étrange, c’est là ce qu’elles veulent, et celle qui ne rêvera
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veulent, et celle qui ne rêverait pas de devenir
malheureuse
pour avoir été une fois heureuse avec Don Juan serait une pauvre fill
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individuelle, dans son amour unique et longuement
malheureux
pour Régine, il fut Tristan. Cependant, je n’ai trouvé dans toute son
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de son Éros ? C’est la passion unique, totale, et
malheureuse
; et par ce malheur même, salvatrice. L’amour humain repose sur un i
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s entre l’homme et Dieu, un amour essentiellement
malheureux
. Cet amour serait même impossible hors du paradoxe de la foi, laquell
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transfigure dans la mesure où il est par essence
malheureux
, ce n’est pas l’Éternel féminin mystique du Second Faust. C’est la pa
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e d’existence. Elle s’illustre dans les relations
malheureuses
— mais spirituellement créatrices — entre Kierkegaard et Régine. Il n
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re parce que la barbarie rendrait les hommes plus
malheureux
qu’ils ne le sont ? Hélas, non ! Les barbares de tous les temps avaie
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ispensable que ne l’est, pour l’amoureux, l’amour
malheureux
: à aucun prix il n’aimerait l’abandonner pour l’état d’indifférence
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ui, peut-être sommes-nous, nous aussi, des amants
malheureux
. La connaissance s’est transformée chez nous en passion qui ne s’effr
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, et qu’il n’a jamais souhaité mieux. « Le croire
malheureux
parce qu’il va de l’une à l’autre, c’est le croire malheureux parce q
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arce qu’il va de l’une à l’autre, c’est le croire
malheureux
parce qu’il n’atteint pas un but qu’il ne poursuit pas », écrit l’un
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ute qui me vient à l’instant : les presbytes sont
malheureux
dans les villes, parce que le regard y bute constamment contre une mu