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s, qu’elle trouve la vie absurde, et qu’elle ne «
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» plus pour aucune idéologie, je serais tenté plutôt de l’en félicite
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us chez beaucoup l’idée que là-bas, la démocratie
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mieux, l’avenir est plus ouvert, et les rapports humains plus francs
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e.) Cet esprit national est « un individu dans la
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de l’Histoire ». Il se fait par sa propre activité, s’épanouit, attei
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e pleinement ses exigences. Voilà ce qui a mis en
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l’Occident et allumé sa soif inextinguible. Mais quand l’homme en vie
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pas le mouvement de l’Histoire qui a déclenché sa
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à jamais bouleversante, et ce ne sont pas des hommes de main qui l’on
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ien d’autres images entraînent, dans ce pays de «
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», entre Alpes et jura, entre le xviiie et notre siècle, entre ces j
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p pour moi… Ma vision, ma pensée, sont liées à la
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, au chemin. Inséparables !… » (A. Cl. Kensik : « Entretiens avec Rudo
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hes, heureux, arrivés, donc faibles ; ils sont en
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, pauvres, insatisfaits, donc forts. Que reste-t-il aux riches sans, b
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ratie. M. Khrouchtchev ne cesse de répéter que la
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fatale de l’Histoire mènera sans guerre au triomphe de Moscou, et que
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? S’il le définit par opposition au repos, ça ne
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pas, rien n’est en repos dans l’univers. Alors ? Son mouvement n’est
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préconise. Pourtant je connais un groupe où cela
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très bien : c’est la famille… N’est-ce pas ? Les enfants prennent à t