1 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
1 particulier de chaque vie dans la vie, dénote et marque l’Occident, et plus spécifiquement l’Europe. On peut donc définir l’E
2 1953, Preuves, articles (1951–1968). « Nous ne sommes pas des esclaves ! » (juillet 1953)
2 les de la zone Est, bien qu’écrasée dans le sang, marque la fin d’une ère : celle du mythe communiste qui, pendant trente-six
3 1955, Preuves, articles (1951–1968). De gauche à droite (mars 1955)
3  » qui a « contribué à l’échec de la CED » et qui marque son point « pour l’histoire ? » Ce n’est qu’Esprit, revue française,
4 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
4 , ou mieux par tensions, qui sera jusqu’à nous la marque et le ressort de l’esprit de recherche occidental, en contraste avec
5 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
5 rse. Cependant l’existence d’innombrables usines, marques , salons, dividendes et records, donne une telle consistance à l’indus
6 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
6 ychinski, stalinien s’il en fût jamais. Elle n’en marque pas moins la naissance du nouveau régime collégial. 4. K. décrit les
7 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la pluralité des satellites (II) (décembre 1957)
7 on, mais cette lucidité à sens unique est une des marques de la confusion générale. La bêtise a toujours été un facteur importa
8 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
8 re de destin, la « vieille et grave mélodie » qui marque la mort de la mère dans Tristan !) Le nom de l’hôtel où se passe la n
9 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
9 on sujet. Dans ses Œuvres de l’amour, Kierkegaard marque le contraste, apparemment insurmontable, entre l’amour-passion (ou am
10 les fibres de son âme ». Cet ouvrage de jeunesse marque l’apogée de l’amitié avec Wagner et de l’admiration pour Schopenhauer