1
x féconde entre la foi, la liberté, et le civisme
militant
. « Universel » en tant que catholique, c’est-à-dire répudiant la myst
2
r tous les murs ; il réclame lui aussi la foi des
militants
dans un monde idéal et futur, mais cette foi n’est gagée que sur le s
3
omme celles-ci n’étaient pas admises, elle devint
militante
, et tout en se développant sur le plan spirituel, elle fut un facteur
4
enfin du besoin d’un retour au bon sens chez les
militants
des PC. Pour corriger le daltonisme provoqué par cette illusion, pour
5
les plus simples. Qu’est-ce qu’un anticommuniste
militant
? C’est un homme qui s’oppose à toutes les tyrannies quel qu’en soit
6
eurs classiques. Voyez Malraux passer du tragique
militant
à la métaphysique de l’art. Et Saint-John Perse, poète des conquêtes
7
sulte d’une action « européenne » initiée par des
militants
fédéralistes, puis financée par douze gouvernements. Or aux yeux du j
8
ur lequel il luttait en fanatique : pessimisme du
militant
d’une foi religieuse ou politique brutalement contestée par le succès
9
sseins cachés. En vérité, c’est aux mouvements de
militants
qu’il appartenait de nous offrir une vision de l’Europe politiquement
10
dans les années 1930) que le premier mouvement de
militants
fédéralistes européens voit le jour : l’Europa-Union. Et c’est sur sa
11
de la guerre, à Hertenstein (septembre 1946), des
militants
issus de la Résistance de plusieurs pays rédigent une déclaration qui
12
e. En lieu et place des mots d’ordre d’une action
militante
et réaliste, les clichés de l’helvétisme populaire accueilleraient le
13
urd’hui, était le seul mobile qui rassemblait les
militants
européens, et elle leur faisait préférer aux réceptions ou à l’opéra
14
es en 1940151. C’est la doctrine qu’attendent nos
militants
. Nous serons une trentaine autour d’une table, on discutera, vous aur
15
raire l’action européenne parte des mouvements de
militants
, bouscule les prudences gouvernementales, et ne revendique rien de mo
16
Churchill. On convint de chercher un accord entre
militants
et ministres. Le 11 novembre 1947, à Paris, les délégués de l’United
17
’admission de la faiblesse relative de cent-mille
militants
sincères face à quelques anciens ministres britanniques et français t
18
cés de perdre l’audience des jeunes mouvements de
militants
, et du même coup leur meilleure chance d’intéresser la presse, ou bie
19
mmédiats » plus que d’action réelle. En fait, les
militants
des NEI et de nombreux éléments socialistes défendirent les thèses fé