1
t de culture tant qu’il subsiste parmi nous de la
misère
et de la famine », il n’y aurait point de civilisation. S’il n’y avai
2
pouvons répéter que notre industrie aboutit à la
misère
prolétarienne, notre science à la bombe atomique, nos révolutions à l
3
un homme qui témoigne dans le dénuement, dans la
misère
, dans l’abaissement et l’humiliation, homme méconnu, haï, détesté, in
4
mpereur en versa la moitié, puis se mit à pleurer
misère
. Les riches ne l’aidèrent point, se disant ruinés, et refusant de fai
5
e, dynamisme créateur déprimé, repliement sur une
misère
et des rancunes croissantes, décomposition des résistances à la propa
6
siècle, l’essor technique crée dans le peuple une
misère
inhumaine, mais dans la grande majorité des élites bourgeoises un opt
7
rtant, le nombre des prolétaires qui ont crevé de
misère
autour de leurs usines pendant tout le siècle dernier, dépasse sans d
8
e situation matérielle qu’on me dit voisine de la
misère
. Les milieux musicaux ont loué sa « dignité ». Stravinski vient d’écr
9
72. On sait que Musil est mort à Genève, dans la
misère
, en 1942. 73. Toute cette partie « géographique » du livre évoque un
10
Le réveil de l’Afrique, le nationalisme arabe, la
misère
de l’Inde, l’expansion de la Chine, l’impérialisme soviétique, la tut
11
des régimes que vous savez. Elles viennent de la
misère
et de la faim pour une large partie de l’humanité. Elles viennent aus
12
omme celui de nourrir les corps et de réduire les
misères
matérielles, bouleversent et oppriment tant de cultures traditionnell
13
nnent enfin, ces menaces contre la liberté, de la
misère
morale où vivent (en Occident au moins autant que dans les pays techn
14
erlin-Ouest en trop grand nombre, « acculant à la
misère
ou à une révolte désespérée ceux qui n’avaient pas les moyens de part
15
ins que notre isolement n’entraîne un retour à la
misère
naturelle du pays ?) Bref, ce n’est pas la Suisse de Morgarten, de Ma