1 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
1 volutionnaires, ni les héros d’une grande passion mortelle , mais la révolution et la passion sont pour nous tous des repères déc
2 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
2 icle fut son acte, l’attaque directe, décisive et mortelle , aussi « exagérée » que peut l’être l’élan d’un combattant qui joue s
3 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
3 ent une Europe vivante au-dessus de leurs nations mortelles . La première et la principale raison d’unir l’Europe, je la vois moin
4 t de durée très variables, et qui ne sont devenus mortels qu’à partir du moment où l’on a prétendu les absolutiser. Bien plus q
5 subsister sans la seconde, que la seconde serait mortelle sans les premières, qu’il s’agit donc de les composer, ou mieux, de l
4 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
6 ue par Héloïse et Abélard, le mythe de la passion mortelle mis en vers et en prose dès la fin du même siècle : le Roman de Trist
7 nable incendie. Et je sais bien que de la passion mortelle à la romance plus ou moins exciting et de la mystique d’Amour au love
8 nne pas un prochain, mais un objet de fascination mortelle . Cependant il l’élit, l’isole et le relie, le transporte au-delà de t
9 nté le nationalisme, cette troisième et peut-être mortelle frénésie religieuse de l’Occident. La nation ou la vocation social
10 ie pseudo-religieuse du nationalisme pouvait être mortelle à l’Occident, et je vois deux raisons considérables pour le craindre.
11 l’Orient comme de notre rhume de cerveau, souvent mortel pour les Polynésiens. Le nationalisme en Europe s’est trouvé partiell
12 ividu, soit sur la société. Toutes les trois sont mortelles et liées à la mort par une complicité originelle. Nous le savons, ou
5 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
13 tance des évangiles et des épîtres sur la réalité mortelle de la chair, et sur toutes ses contradictions, ce terme même d’In-car
6 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur le rêve des sciences (décembre 1956)
14 pect dans la plaine sibérienne, ou l’embrassement mortel d’une étoile par son double. Ainsi le bévatron de Berkeley rejoint en
7 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
15 ort sérieux à ce que Freud a nommé un jour l’élan mortel , secret de l’amour tristanien. Et l’absence de sacré exténue les pass
16 le qu’en trouve le héros est celui de l’attrait «  mortel  » pour une nymphet. Une autre fois, parlant encore avec sa sœur des f
17 mystique eût pris la place de l’Île de la passion mortelle . Et le Voyage au Paradis de l’ancienne ébauche fût devenu le « Voyage
18 rire des romans, celle dont la contagion rarement mortelle mais délicieuse atteint tous ceux qui ont ressenti, un jour ou l’autr
8 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
19 ’amour dont la guerre est le moyen, dont la haine mortelle des sexes est la base »119. Cet amour dont Benjamin Constant a bien d
20 t le fragment d’Aurore : c’est le retour du mythe mortel de l’Amour qui transfixe et transfigure. C’est le Chant de Minuit sal
9 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
21 la nation. C’est pourquoi le retour de la passion mortelle vers le milieu du xixe , s’il est d’abord le fait du romantisme, ne c
22 ue, ou son bonheur ; le totalitarisme, sa maladie mortelle . Ayant vécu près d’une année en Allemagne hitlérienne (comme lecteur