1 l’innombrable humanité. Nous avons médité sur les mystères de toutes les civilisations qui précédèrent les nôtres et sur celles

2 ’« énoncé direct », à l’examen de la nature ou du mystère d’une vocation historiquement vécue.   Le premier caractère d’une voc

3 s et leurs fidèles, Zeus, Aphrodite et Diane, les mystères d’Éleusis, la Grande Déesse, les cultes initiatiques, l’Odin des Scan

4 et principal de la science, nous butons contre le mystère que cette science avait cru pouvoir éliminer. Le Cosmos tout entier s

5 le savent aussi bien que moi.) Laissons donc ces mystères de la mauvaise conscience, et voyons le cas illustre d’une « conscien

6 ne laissent pas une crotte sur la place. C’est un mystère . Ils ont le sens de l’artificiel, probablement. A. (soudain très pâle

7 dans l’amour partagé n’évoque-t-elle pas aussi un mystère plus prochain, une autre rédemption de l’éros par l’Agapè ? L’interdi

8 ant que tel reste aux yeux d’un amour exigeant le mystère le mieux défendu, — Éros et Agapè ne pourraient-ils nouer une allianc

9 mo de saint Anselme. Kassner gravite autour de ce mystère , l’approche par le moyen de paraboles, de questions, de comparaisons.

10 ’imagination, irrésistiblement, s’oriente vers le mystère crucial. S’agirait-il d’une théologie ? Kassner veut voir. D’une gnos

11 un de courir sa propre aventure et d’affronter le mystère de sa personne. Telle est la fin dernière de toute communauté, et la

12 ète à l’avenir européen. Car la Suisse détient un mystère , ou plutôt elle est ce mystère. Il m’a fallu longtemps, beaucoup d’ét

13 Suisse détient un mystère, ou plutôt elle est ce mystère . Il m’a fallu longtemps, beaucoup d’étude, d’éloignement, de retours

14 dénigrait sans relâche. Il voulait un rituel, des mystères , une adoration fascinée, une rébellion furieuse et permanente mais se

15 le. On a touché au secret du monde. On a piqué le mystère en plein plexus solaire… Il va se venger ! » Enfin Duchamp voulut bie