1 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
1 rté, mais inaptes à la vie commune, à cause d’une mystérieuse mélancolie qu’ils dissimulent sous un masque ironique. Et voici que c
2 de tous, celles de Shakespeare, certains moments mystérieux d’une dialectique tout intérieure. On sent le risque de l’entreprise 
3 n et parie tout sur quelque chose qui lui demeure mystérieux , dans lui-même autant qu’hors de lui. Reprenons une dernière fois not
2 1954, Preuves, articles (1951–1968). Tragédie de l’Europe à Genève (juin 1954)
4 4)q Genève nous offre le spectacle d’un de ces mystérieux moments d’accélération de l’Histoire qui peuvent provoquer, selon les
3 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
5 la parenté entre notre œil et la lumière, quoique mystérieuse , n’est plus illusion ; et le cosmos n’est pas une fantasmagorie privé
4 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
6 nt et se recomposent l’un après l’autre, avec une mystérieuse précision. Iseut la guérisseuse, la nostalgie lointaine, la maîtresse
5 1968, Preuves, articles (1951–1968). Marcel Duchamp mine de rien (février 1968)
7 n. Il nous donnait ainsi, d’un mot, la clé de ses mystérieuses disparitions dans le Sud-Ouest. L’une des girls avait lu un article s
8 e de sa vie tiendra sans doute dans cette faculté mystérieuse de rendre exemplaires, mémorables, chargés de sens et de non-sens, ef
6 1970, Preuves, articles (1951–1968). Dépasser l’État-nation (1970)
9 fait ? Eh bien ! chacun le sait, rien n’est moins mystérieux  : l’obstacle à toute union possible de l’Europe (donc à toute union f