1 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
1 notre foi dans le Progrès a cessé d’être une foi naïve . Nous nous posons à son sujet des questions parfois angoissantes. Par
2 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
2 le secret serait trop lourd pour la jeune fille. Naïve et spontanée, elle tenterait simplement, s’il le lui révélait, de ram
3 amlet a compris lui aussi que l’amour spontané et naïf d’Ophélia ferait obstacle à ses desseins secrets. C’est à lui que pen
3 1954, Preuves, articles (1951–1968). Il n’y a pas de « musique moderne » (juillet 1954)
4 re autre chose. Ils ont perdu la bonne conscience naïve de l’artiste acceptant les lieux communs du temps, et c’est pourquoi
4 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
5 « chrétien » que ne pouvait l’être un paroissien naïf du Moyen Âge, mais seulement que la dialectique formelle de la person
5 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
6 . D’où les innombrables confusions qui donnent au naïf commerce de l’amour un caractère spectral si fascinant. C’est pourqu
6 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur une phrase du « Bloc-notes » (mars 1959)
7 Express que les « Européens » sont insondablement naïfs , ou hypocrites. Oh ! cher François Mauriac, comment vous expliquer qu
8 de même plus sérieux : je ne le crois pas du tout naïf et vous ne l’accuserez pas d’hypocrisie. Mais alors de qui parlez-vou