1 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un patriotisme de la terre (mars 1958)
1 toutes tailles, de toutes altitudes et de toutes nationalités , répondant à des besoins différents. Il y aura une série de grandes s
2 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
2 e pour l’édification de l’Europe. Selon lui, « la nationalité suisse possède au plus haut degré un caractère très international »,
3 l’avenir se réalise un jour, écrit-il en 1875, la nationalité suisse devra s’incorporer à la communauté de la Grande Europe. De cet
4 ou instantanées. Interpénétration croissante des nationalités , des races, des groupes sociaux. Information audiovisuelle planétaire
5 ur l’Europe entière. Au moment où le principe des nationalités domine toute la scène européenne comme une puissance satanique, au mo
6 ndique l’honneur d’un idéal national dominant les nationalités et les unissant dans son sein. Et Robert de Traz, dans le même temps
3 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
7 nneté commune sans que soit perdue pour autant la nationalité d’origine ». La controverse entre fédéralistes et unionistes laisse u