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dence de l’Occident. Cette mystification date des
nazis
. Notre art « dégénéré » survit à leur empire, qu’ils fondaient pour m
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nier, dépasse sans doute celui des tués des camps
nazis
, sinon celui des morts de Kolyma et autres lieux de rééducation. Au x
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s des « bons communistes ». Que penserait-on d’un
nazi
d’aujourd’hui qui n’attaquerait Hitler que pour avoir pendu de « bons
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de l’internationalisme ; de voir dans Jaspers un
nazi
, dans Staline un penseur, et dans Stil quelque chose ; enfin de situe
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nte : « J’ai vu certains de mes étudiants devenir
nazis
. J’ai vu qu’ils changeaient physiquement. Ils prenaient ce type dur,
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i permet de reconnaître au premier regard un chef
nazi
. Si peu sérieux que cela puisse vous paraître, je crois que le totali
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échantes manchettes ». Il fait oublier les crimes
nazis
, « Oradour et Auschwitz », que l’auteur semble donc attribuer aux seu