1 1951, Preuves, articles (1951–1968). Mesurons nos forces (avril 1951)
1 nos révolutions et par nos sciences, décorent du nom de « mystiques puissantes » de simples propagandes qui nous prometten
2 t du progrès, le but de toute communauté digne du nom . J’en viens ici à notre troisième force : la personne. Voilà la créat
2 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
3 s la vie de l’Europe, tout ce qui s’y est fait un nom et un visage distinct. Soulignons maintenant que ce drame permanent e
3 1953, Preuves, articles (1951–1968). « Nous ne sommes pas des esclaves ! » (juillet 1953)
4 s les épreuves de force que le PC institue en son nom  » ! (J.-P. Sartre). Allez redire devant ces morts en bleus de travail
5 iiie siècle. Au nom de l’ordre, et de la loi, au nom des droits sacrés de la propriété, au nom des intérêts de la producti
6 loi, au nom des droits sacrés de la propriété, au nom des intérêts de la production, les policiers de toutes nos bourgeoisi
7 rvé au régime communiste de faire ce métier-là au nom des ouvriers — d’ajouter l’imposture au crime. C’est en quoi Grotewoh
8 ause ouvrière, à se parer de sa justice et de son nom , pour l’écraser ensuite, une fois qu’on a le pouvoir, en répétant ses
4 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
9 ’Occident par ses maladies spécifiques, ces trois noms me sembleraient y suffire. Inconnus de l’Antiquité comme de l’Orient
10 ienne. Il y a donc un sacré moderne. Et ces trois noms révèlent ses puissances d’envoûtement. Ennemi de la personne et de sa
11 onnel se répand dans le corps social, il prend le nom de Révolution. L’idée et la réalité de ce phénomène, je l’ai dit, son
12 ient vertu. On l’enseigne dans les écoles sous le nom de « patriotisme ». Il est admis que tout orgueil, toute vanité, et j
5 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
13 tes, sont-elles exactes ? N’a-t-on pas ajouté des noms d’absents ? Il faut maintenant souscrire aux formules adoptées, dépos
14 science était censée garantir ce point de vue, au nom duquel on pouvait écarter toute espèce d’«  hypothèse mystique ». Mai
15 s des attributs de Dieu. Le divin prend alors les noms les plus bizarres : il est tantôt la forme archétypique organisant le
16 science nous conduit à l’inconnaissable. C’est le nom de l’absence de Dieu pour l’homme. L’infini et l’omniprésence, l’ordr
6 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
17 approuvait donc, pour la France, et sous le même nom de stalinisme, autre chose que ce qu’il dit que le système était « né
18 critique, il se verra bientôt stigmatisé sous le nom d’anticommuniste systématique. C’est mon cas et je m’en explique. Je
19 s procès de Rajk, Kostov, Slanski, etc., menés au nom des mêmes doctrines et par les mêmes procédés délirants que ceux de B
20 nocents, condamnés comme « ennemis du peuple » au nom des intérêts « historiques » du Parti ; 7. que la politique du Kremli
21 urtant les régimes ne se justifiaient pas au seul nom de l’émancipation prolétarienne ; et que les conflits du travail, rég
22 is cru visé. On lui demandera des précisions, des noms . Visait-il donc Koestler, ou Souvarine, ou Silone, Spender, ou Milosz
23 vulgaires seraient-ils donc ceux qui n’ont pas de nom  ? Il faut pourtant bien qu’ils existent : où serait, sans eux, la bon
24 e voulait qu’on se déclare autonome en reniant le nom de Staline, mais qu’on se montre obéissant, d’une manière spontanée,
25 te, sans lequel il n’est point de foi digne de ce nom . Nous pouvons les convaincre aussi que l’amour de la liberté n’est pa
7 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur Voltaire (février 1957)
26 encore : Deo erexit Voltaire. « Deux bien grands noms  ! », disaient les voyageurs du temps. Il y faisait ses Pâques, non sa
8 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur deux écrivains politiques (juin 1957)
27 nt ne serait qu’un pléonasme. On se contentera du nom d’Européen. Tolérer l’intolérance ? Si l’on jugeait le PC au no
28 comme le veut Sartre — il faudrait l’interdire au nom des nôtres. En effet, le 2e congrès de l’Internationale communiste dé
9 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur le pouvoir des intellectuels (juillet 1957)
29 té initiées par des intellectuels prétendant à ce nom , des encyclopédistes à Lénine, en passant par Marx ou Maurras, Mazzin
10 1957, Preuves, articles (1951–1968). L’échéance de septembre (septembre 1957)
30 e saurait être que l’ignorance de la nature et du nom même des réalités en présence. Il ne s’agit donc pas d’internationali
11 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur le crépuscule d’un régime (octobre 1957)
31 n manque d’éducation, c’est entendu. Mais sous le nom de démocratie, ce n’est qu’une démocratie mal éduquée, insuffisamment
32 me vous paraît bon. R. — J’avoue que j’ignore son nom , on le trouvera bien un jour, et je n’ose espérer qu’il soit exact. C
33 Ils mettraient simplement au pouvoir ceux dont le nom commence par A, puis par B, puis par C, jusqu’à Z et retour. Ou bien
34 stables. Ce sont elles que nous défendons sous le nom de démocratie, qui est une fausse étiquette, sans nul doute. Le malhe
12 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur un certain cynisme (septembre 1957)
35 Non, c’est une petite liste qui compte huit à dix noms . A. — Faites voir : « Simone Weil, Teilhard de Chardin, Saint-John Pe
36 il s’agissait d’un palmarès. J’ai choisi quelques noms qui vous décrivent une France tout dans la critique morale et l’inven
13 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la pluralité des satellites (II) (décembre 1957)
37 ination individuelle et idéologique, dont le vrai nom sera dans l’histoire : liquidation du communisme. On élimine d’abord
14 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (I) (août 1958)
38 ce que l’on choisit, du système suisse ou de son nom  ? La Confédération helvétique est le type même d’une authentique fédé
15 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (II) (septembre 1958)
39 buts et la fonction n’ont rien en commun, sauf le nom , avec les formations qui se partagent le pouvoir dans les démocraties
40 à dénoncer les manœuvres d’un autre parti sous le nom de « complot » si elles semblaient devoir être efficaces, et à qualif
16 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
41  ; et, pour ces créatures choisies, je propose le nom de nymphets. » Lolita, 12 ans et 7 mois, a le charme inquiétant, l’im
42 qui marque la mort de la mère dans Tristan !) Le nom de l’hôtel où se passe la nuit de la séduction, les Chasseurs enchant
43 uis sûr — d’un amour trop réel pour oser dire son nom dans un roman ? L’amour heureux n’a pas d’histoire, chacun sait cela
44 secrètes de la nuit, grande et pacifique comme le nom de l’océan d’Asie. Ce n’est pas un hasard si tu es là, au terme de ma
45 rs de ma vie, j’ai tenté de définir, de donner un nom au sortilège lumineux que tu avais jeté dans mon âme, à ce rayon qui,
17 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur une phrase du « Bloc-notes » (mars 1959)
46 ées) qui fut Goering : elle ne connaissait pas ce nom -là. Plus fort : un bachelier m’apprend que de Gaulle « à ce qu’il par
47 us ? De quels « Européens » qui méritent mieux ce nom  ? Cette union de l’Europe que réclamaient Churchill et les fédéralist
48 ur, la manie caractéristique de ceux que, sous le nom d’« Européens », vous désignez si légèrement au dédain ou au mépris d
18 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
49 chienne d’avant 1914 comme Robert Musil. Ces cinq noms que l’Autriche a donnés à l’Europe sont parmi les plus grands des Let
50 es amis de Kassner, la seule littérature digne du nom  ; et l’on ne s’étonnera pas que Kassner soit resté, jusqu’ici, le moi
51 il entendit parler du zen, qui n’est resté qu’un nom pour lui. Mais dans le recueil d’hommages publié pour ses 80 ans (le
52 aucune manière technique, et si elle lui donne un nom , ce sera : Bouddha. Enfin ceci, qui devait combler chez Kassner le p
19 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
53 et de finesse, car aucune carte ne l’indique. Son nom même est une contradiction, car comment le croisement de huit chemins
54 la rencontre de trois routes suffit à donner son nom à tout ce que craint un solitaire : la trivialité, combien plus trivi
55 t près de là, un bosquet fermé de haies, porte le nom d’« Enclos fatal »… L’animation des huit chemins n’est qu’une pure po
20 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
56 de Molina répond : « Qui je suis ? Un homme sans nom . » Cet homme sans nom, sans passé ni lendemain, c’est l’un de ces cav
57 Qui je suis ? Un homme sans nom. » Cet homme sans nom , sans passé ni lendemain, c’est l’un de ces cavaliers sortis des temp
58 s le masque, hors la loi ou sacré, « l’homme sans nom  » vient d’ailleurs comme un ange, passe, étreint, dit le mot, révèle,
59 en ni mien, ni séparé ni interdit, dans l’Un sans nom  : Dans le flot houleux Dans l’éclat sonore Dans la tourmente infinie
21 1963, Preuves, articles (1951–1968). Le mur de Berlin vu par Esprit (février 1963)
60 s françaises, qui, très généralement, donnent les noms d’auteurs, et c’est tout. (À la Cour, on ne rencontrait que des perso
22 1963, Preuves, articles (1951–1968). Une journée des dupes et un nouveau départ (mars 1963)
61 n et du suffrage universel. Abstraction faite des noms , des intentions cachées, des motifs présumés et des sincérités, et qu
23 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
62 européenne. De nos jours encore, à l’étranger, le nom de la Suisse évoque des vaches et des vachers, des fromages, des yodl
63 notre création majeure. Il nous oblige. Et en son nom , nous nous devons dorénavant de prendre des initiatives. Aux deux sol
24 1966, Preuves, articles (1951–1968). André Breton (novembre 1966)
64  : qu’on lui donne une Église à régir, et le beau nom de sacerdoce à restaurer dans une atmosphère orageuse ! Mais l’Amériq
25 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
65 irera sous sa tente, ou bien se liera aux “grands noms ” de l’“Europe unie” et de la Ligue. Nous pourrions sans doute, dans u