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e drame, et il y a réussi, puisqu’il peut écrire,
non sans
amertume : « Elle a choisi le cri, j’ai gardé la douleur », tandis qu
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t grand éducateur est parti en claquant la porte,
non sans
avoir déclaré vertement qu’il avait cessé de croire à ce qu’il dirige
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les voyageurs du temps. Il y faisait ses Pâques,
non sans
ostentation, et ne se privait pas de haranguer le bon peuple à la sor
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e jouer sans se mettre en prise ». Littré ajoute,
non sans
sévérité : « Cette position témoigne chez l’adversaire d’une si grand
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en, contre toute attente, c’est l’URSS qui gagne,
non sans
avoir reçu des coups très rudes, et alors l’Europe perd la face en mê
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e contraire. On juge ses vues « superficielles »,
non sans
raison, car ce sont celles qu’on lui attribue. Mais on admet pourtant
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contre ses propres inventions, et les assimiler,
non sans
dégâts sociaux, en restant à peu près elle-même dans l’ensemble. Mais
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ue et la Russie. De chacune d’elles on a pu dire,
non sans
raison, qu’elle était « en réalité » une description sociale, morale
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es années où Ulrich avait cherché sa voie seul et
non sans
insolence, le mot de sœur avait été chargé pour lui d’une nostalgie v