1 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
1 e drame, et il y a réussi, puisqu’il peut écrire, non sans amertume : « Elle a choisi le cri, j’ai gardé la douleur », tandis qu
2 1953, Preuves, articles (1951–1968). À propos de la crise de l’Unesco (mars 1953)
2 t grand éducateur est parti en claquant la porte, non sans avoir déclaré vertement qu’il avait cessé de croire à ce qu’il dirige
3 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur Voltaire (février 1957)
3 les voyageurs du temps. Il y faisait ses Pâques, non sans ostentation, et ne se privait pas de haranguer le bon peuple à la sor
4 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (mars 1957)
4 e jouer sans se mettre en prise ». Littré ajoute, non sans sévérité : « Cette position témoigne chez l’adversaire d’une si grand
5 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (fin) (mai 1957)
5 en, contre toute attente, c’est l’URSS qui gagne, non sans avoir reçu des coups très rudes, et alors l’Europe perd la face en mê
6 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur le pouvoir des intellectuels (juillet 1957)
6 e contraire. On juge ses vues « superficielles », non sans raison, car ce sont celles qu’on lui attribue. Mais on admet pourtant
7 1957, Preuves, articles (1951–1968). L’échéance de septembre (septembre 1957)
7 contre ses propres inventions, et les assimiler, non sans dégâts sociaux, en restant à peu près elle-même dans l’ensemble. Mais
8 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
8 ue et la Russie. De chacune d’elles on a pu dire, non sans raison, qu’elle était « en réalité » une description sociale, morale
9 es années où Ulrich avait cherché sa voie seul et non sans insolence, le mot de sœur avait été chargé pour lui d’une nostalgie v