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s sauf à moi-même, je n’en pensais guère moins et
notais
au passage des points de départ d’interventions virtuelles… Je m’en v
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alors soumise à l’Empire autrichien. On a souvent
noté
que les dictateurs, de Napoléon à Staline, en passant par Hitler, vie
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ui concerne la plupart de nos progrès techniques.
Notons
qu’en retour, les deux grands mystiques de cette époque se trouvaient
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ique : ils la font, et ils sont faits par elle. »
Notons
d’abord que Sartre « reconnaît » que K. et les siens eurent « des pos
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t séparé de l’Europe depuis de longues années, je
notais
: « Transmission du corps humain à grande distance par radio. Une par
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leur permis de voyager. Ils salissent tout. Mais
notez
que les pigeons qu’ils aiment photographier ne laissent pas une crott
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ur innocence. Ce n’est pas une affaire de classe,
notez
-le bien. Presque toutes les mondaines se verront recalées. A. — La pr
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jeune »… R. — Mais pas un seul n’est un cynique,
notez
-le bien, et ce sont eux qui représentent le mieux une France de volon
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uns à ses vingt-cinq États (dont la souveraineté,
notons
-le, est garantie par la Constitution) sont appelés fédéraux. À vrai d
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de la légende de Tristan. Mais il est curieux de
noter
qu’à chaque fois un point d’ironie frappe l’allusion. Ainsi, la mère
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sement qui se mue en joie pure à la mort. On peut
noter
encore ceci : Don Juan plaisante, rit très haut, provoque la mort lor
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ides nucléiques. À cela tient toute sa nocivité. (
Notons
aussi que le virus ne peut se propager et se reproduire qu’aux dépens
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onquis : on se sépare heureux, dans les Mémoires.
Notons
aussi que Dona Anna, si elle déclare sa haine pour Don Juan, n’est pa
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L’Europe de demain, La Baconnière, 1946. Et l’on
notera
que la plupart des mots-clés de Montreux et de La Haye s’y trouvent d
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avec d’autres fédérations continentales. Et vous
noterez
que je ne parle pas de relations ou d’affaires « étrangères » : c’est