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neutre, et même démocratique ; car dès l’instant
où
la culture se subordonne à une politique quelconque, cette politique
2
vembre 1951)e Allez dans un pays comme l’Inde,
où
, dans la seule province du Bihar, vingt millions d’habitants meurent
3
définir l’Europe comme cette partie de la planète
où
l’homme, sans relâche, se remet en question, et veut changer le monde
4
, l’Amérique la déprime, la Russie la supprime. D’
où
cela vient-il ? Cela vient de ce que la passion, dans sa pureté origi
5
ienne et qu’elle est inconcevable hors d’un monde
où
Pascal peut placer dans la bouche même du Christ cette phrase célèbre
6
uerez pas impunément dans les États totalitaires,
où
il se voit réduit à la plus stricte clandestinité. Et c’est pourquoi,
7
est la négation même de son mouvement originel. D’
où
nous vient, en effet, le concept du Progrès ? Il n’est apparu comme c
8
s responsable ; elle devient une longue aventure,
où
tout reste imprévu sauf la fin : le retour du Seigneur au jugement de
9
rcs ; mieux encore, à ces temps du xiiie siècle,
où
la marée mongole battait les portes d’une Europe encore moins défendu
10
en recul marqué dans nos pays. À Paris et à Rome,
où
il avait conquis au lendemain de la guerre d’importantes positions st
11
— découvre une situation nouvelle. Dès l’instant
où
la menace du stalinisme perd son urgence dans le domaine culturel, un
12
nquêtes minutieuses pour savoir qui fait quoi, et
où
, et comment aider tel ou tel sans avoir l’air de faire pression, tout
13
d’une promenade. On le transporta dans un hôpital
où
il mourut en quelques semaines, âgé de 42 ans. Le seul événement exté
14
n seul jour, rompre les chaînes de la mélancolie,
où
une autre puissance me retenait. » Cette disposition, ajoute-t-il, l’
15
Ainsi l’incertitude est objective dans la mesure
où
l’objet de la conviction qu’on entretient n’est pas démontrable ; dan
16
nt n’est pas démontrable ; dans la mesure, aussi,
où
l’enjeu de la vocation reste passible d’être mis en doute, ou même ni
17
d’être mis en doute, ou même nié ; dans la mesure
où
cet enjeu risque, après tout, d’être purement imaginaire. À cela, nou
18
d’Argus à ne pas se laisser duper dans une œuvre
où
se proclame le poète. Enfin, aux dernières pages du livre, il ajoute
19
Vainement essaierais-je de raconter les occasions
où
Dieu m’a fait sentir son secours. Une chose m’est bien souvent arrivé
20
ère, suivre sa vocation, c’est aller dans le sens
où
la nature nous pousse, dans le sens de nos talents, de nos « facilité
21
l avait cessé de croire à ce qu’il dirigeait. D’
où
vient le malaise ? Chacun sait qu’il existe un malaise général à l
22
viennent de renouveler ce Dimanche rouge de 1905
où
le tzar fit tirer sur la foule qui marchait vers le Palais d’Hiver. C
23
nquait, pour son malheur, à l’Allemagne, au temps
où
j’y fis mes études.” Nous reproduisons ci-dessous presque intégraleme
24
uvres les plus célèbres de Gauguin s’intitule : D’
où
venons-nous ? Où sommes-nous ? Où allons-nous ? Je n’imagine pas de m
25
lèbres de Gauguin s’intitule : D’où venons-nous ?
Où
sommes-nous ? Où allons-nous ? Je n’imagine pas de meilleure devise p
26
s’intitule : D’où venons-nous ? Où sommes-nous ?
Où
allons-nous ? Je n’imagine pas de meilleure devise pour la table rond
27
tte entreprise, partons de la deuxième question :
où
sommes-nous, Européens, en ce milieu du xxe siècle ? Une phrase déjà
28
es choses dans les milieux du Conseil de l’Europe
où
germa, voici quelques mois, l’idée d’une table ronde européenne. La c
29
déjà réalisés. Comment réduire ces résistances là
où
elles sont, dans les esprits et dans les cœurs, selon la formule cons
30
si posé, nous nous sommes tournés vers l’avenir :
où
allons-nous ? Et c’est M. Robert Schuman, en plein accord avec les th
31
n’être pas soi-même ou que de ne l’être que jusqu’
où
l’on veut », remarque Valéry. Je dirai maintenant les réflexions qui
32
s encore su dépasser dans leur cœur. On voit bien
où
le bât les blesse. D’autres parlent d’humilité, et battent la coulpe
33
lque réalité et consistance, en dehors des débats
où
elles figurent comme prétexte à refuser les évidences européennes ? V
34
a plus guère d’autre existence que psychologique.
Où
la voit-on à l’œuvre ? Non pas dans les faits mais dans les discours
35
pouvoirs concrets, elle est devenue le réceptacle
où
se recueillent pêle-mêle nostalgies de gloires passées, orgueils déçu
36
nc pris les caractères cliniques d’un complexe. D’
où
la difficulté, pour ceux qui en sont victimes, de s’adapter aux réali
37
angeantes du siècle, et même de les apercevoir. D’
où
la prise qu’ils offrent aux manœuvres les plus grossières du communis
38
inquiète comme Iago sur la jalousie d’Othello. D’
où
enfin, l’extrême confusion et les éclats de passion saugrenus qui car
39
qui ne sont devenus mortels qu’à partir du moment
où
l’on a prétendu les absolutiser. Bien plus que d’une réforme des manu
40
stré par l’examen de la Communauté charbon-acier,
où
la Lorraine, la Sarre et le Luxembourg pourront constituer une zone u
41
de vivre son grand rôle historique dès l’an 1204,
où
l’armée des croisés pilla sa capitale et viola son sanctuaire. Chute
42
lle des steppes ? Était-il trompé par Le Monde ,
où
l’on estime que si la masse des USA déséquilibre l’Alliance atlantiqu
43
de va se concentrer sur le théâtre d’une bataille
où
l’Occident, désormais, joue perdant. Le monde entier verra nos défait
44
que confère aux œuvres des contemporains le refus
où
beaucoup les englobent, ne peut donc procéder que d’une méconnaissanc
45
ne jouent plus que les modernes d’autres temps. D’
où
l’aspect forcément étrange que prennent les musiques d’aujourd’hui. D
46
pourraient bercer la clef de leur coffre. Mais d’
où
tant de perspicacité musicale vint-elle à Denis de Rougemont ? Il hab
47
ui est faux, manifestement, sauf dans le seul cas
où
l’on attribuerait à « Peur de l’Allemagne » une valeur infinie. Ce qu
48
à la précaire liberté de la République fédérale,
où
la restauration continue de gagner », etc. (p. 668). Ou encore : « Ce
49
finalement à Mendès-France dans la mesure exacte
où
celui-ci s’éloignait des thèses gaullistes sur la Russie. Encore un p
50
, mais en établissant le bilan de ses effets, par
où
l’on voit qu’elle met en déficit la liberté ; enfin parler de la nati
51
à duper Dieu lui-même. De fait, le xiie siècle,
où
la passion « naquit » avec la poésie des troubadours, voit un premier
52
lui une autre vie. Il entra dans une vie nouvelle
où
tout son être fut changé. Il devint un autre homme…10 Cette « vie n
53
sion ne pouvait donc apparaître que dans le monde
où
cette croyance à l’être unique faisait partie de la religion de tous.
54
a conversion, l’éblouissement du chemin de Damas,
où
Saul de Tarse devient l’apôtre Paul. Révolution et conversion ont le
55
é de ses temples. Elle évoque l’idée d’une Europe
où
vivraient encore sous nos yeux, dans nos villes et dans nos campagnes
56
mier cas, techniques dans l’autre. Enfin, là même
où
le christianisme a prouvé sa puissance de subversion, l’on s’avise d’
57
diffèrent et pourraient donc devenir ses juges. D’
où
la Terreur inévitable qu’il exerce, étant lui-même terrorisé. D’où le
58
vitable qu’il exerce, étant lui-même terrorisé. D’
où
le fait nécessaire et non accidentel — en dépit de l’hypocrisie des h
59
orables, dès qu’on les met au compte de la nation
où
l’on a pris la peine de naître. Ce que nul n’oserait dire de son moi,
60
e retourner contre notre Occident, au moment même
où
il commence d’entrevoir l’étendue de sa propre folie et d’en chercher
61
érésies : vérités dévoyées, isolées de l’ensemble
où
elles se composaient dans une tension commune vers la résolution touj
62
tures qu’elle ne l’était avant le xiie siècle. D’
où
l’on ne saurait conclure en poussant à l’absurde que l’incroyant mode
63
iens et d’hommes de main, rôde autour de l’église
où
siège le concile, attendant l’occasion d’intervenir en force. À l’int
64
violence, de la gauche et de la droite de la nef
où
sont massés plusieurs centaines d’évêques et de docteurs, tandis que
65
ou juridiques dont il est porteur dans l’État ; d’
où
cet adage du droit romain : persona est sui juris, servus non est per
66
du réel. Formées et formulées par la théologie d’
où
procèdent nos philosophies, elles ont déterminé dans une large mesure
67
réussit même à y pénétrer en s’y subordonnant. D’
où
vient cette exigence proprement insatiable, « à la fois inquiète et s
68
« à la fois inquiète et sûre d’elle-même », et d’
où
vient le courage qu’elle suppose ? De la foi, qui est confiance en Di
69
fait et le convainc. Ainsi, c’est dans la mesure
où
le christianisme a signifié la fin des religions et des magies, nées
70
veugle, cet enfoncement de taupe dans une galerie
où
le Soleil ne parvient plus — et l’on finit par l’oublier ou le nier —
71
s lois d’un Univers par ailleurs inimaginable. (D’
où
la tentation naturelle de l’assimiler au divin.) Au stade présent de
72
un héros, sur une machine encore insuffisante : d’
où
la gloire. La première traversée de l’Atlantique par un bombardier sa
73
e un quartier de la même viande dont on mange. (D’
où
« l’invention » de la cuisson des aliments ?) Dès lors, il est lié, p
74
lles qu’il faut séduire tout en leur obéissant. D’
où
« l’inadaptation » que notre esprit rationnel croit découvrir dans ce
75
a vie naturelle, règne et création du Démiurge. D’
où
l’ascétisme, le monachisme, l’angélisme, qui méprisant matière, chair
76
n fantasme (au sens précis de la psychanalyse). D’
où
vient donc la technique, si ce n’est pas de nos besoins matériels et
77
cœur se serre quand on parcourt ces maisons fées
où
le fer et le cuivre, éblouissants, polis, semblent aller d’eux-mêmes,
78
bien par un certain usage que l’homme en fait. D’
où
l’idée, répandue dans les élites, qu’un peu plus de technique ne peut
79
mais son prestige s’évanouira dans la mesure même
où
les loisirs et leur contenu deviendront le problème vital et passionn
80
e, que de l’accélérer puissamment, jusqu’au point
où
plus rien d’avouable ne pourra plus nous empêcher de réaliser enfin s
81
onnent le vertige. Nous sommes au seuil des temps
où
la culture va devenir le sérieux de la vie. (Elle l’a toujours été, m
82
aire un saut sans précédent, créant une situation
où
nos vrais vœux, nos vraies orientations, nos vraies options se manife
83
ment le vide de l’âme créé par le matérialisme. D’
où
le succès sans précédent des livres proposant des recettes de bonheur
84
seulement qu’elle peut nous jeter dans une époque
où
les questions religieuses deviendront plus sérieuses que ne le sont a
85
contre la conception « rationaliste » du monde. D’
où
son succès mondial jusqu’à la dernière guerre. André Breton n’a pas c
86
orique reste conjectural : on ne sait encore ni d’
où
il vient ni où il va. Il peut sembler toutefois que, de la mort du de
87
njectural : on ne sait encore ni d’où il vient ni
où
il va. Il peut sembler toutefois que, de la mort du despote à la publ
88
ion de la prolonger devient alors irrésistible. D’
où
les innombrables études sur l’avenir probable de l’URSS : la plupart
89
a Ligne et porteur du mouvement de l’Histoire ! D’
où
l’on voit qu’un anticommuniste qui se veut « non systématique » n’est
90
de nom ? Il faut pourtant bien qu’ils existent :
où
serait, sans eux, la bonne conscience des anticommunistes « distingué
91
pos n’est qu’un bien pâle reflet de la difficulté
où
les met l’injonction du nouvel anti-pape. Porter au crédit de la tyr
92
isi l’occasion, mais Thorez est encore perplexe.)
Où
les choses se gâtent pour de bon, c’est quand on reçoit, en plus, l’o
93
n suggère que K. peut se tromper. Entre les deux,
où
se place l’infaillibilité ? Qui, désormais, en sera le vrai porteur ?
94
donc ce qu’il dit ? Un jour viendra, sans doute,
où
l’on s’apercevra que l’adjectif « communiste », en URSS, ne signifie
95
est-ce que c’est ? Êtes-vous sûr qu’elle existe ?
Où
commence-t-elle dans le temps ? Et où finit-elle dans l’espace ? B. C
96
le existe ? Où commence-t-elle dans le temps ? Et
où
finit-elle dans l’espace ? B. Ceux qui l’attaquent savent assez ce qu
97
dialogue — et tout dialogue, peut-être. De celle
où
vous êtes né comme moi, si je ne me trompe, et qui meurt de vos doute
98
ndons qu’il dépend du seul Nasser, dans la mesure
où
Moscou l’approuve, de déclarer que sa dictature est « populaire » ou
99
ère). Et je ne parle même pas du monde du cinéma,
où
la minute de pellicule multipliée par le tour de poitrine vaut un vis
100
Sécurité. Il partit comme Abraham, « sans savoir
où
il allait », mû par des songes insensés et se trompant dans ses calcu
101
eur, cette petite note en soit témoin : à la date
où
je l’écris, nous ne savons rien de ce qui peut nous attendre ou non s
102
t pour notre cosmos ? On voit le danger : le jour
où
notre monde touchera son reflet, l’antimonde, un court-circuit défini
103
raux en retraite, mais bien dans les laboratoires
où
s’inventent de nouvelles sources d’énergie. Le vrai problème nouveau
104
(plus un tram et plus une auto), jusqu’à la place
où
les couleurs suisses et hongroises furent hissées, sous les projecteu
105
un journal du parti communiste et devant un hôtel
où
des diplomates russes célébraient leur Octobre à eux). Il semble que
106
es prairies entre deux bois de très vieux chênes,
où
persiste un tapis de brume. Aux bords de ce ruisseau qui longe mon ja
107
un mal imaginaire, et un bien réel pour eux ; car
où
est le mal… d’être libre au lieu d’être esclave ? » Là-dessus, l’on
108
donc ? Dans la confusion générale, qui est celle
où
s’élaborent habituellement les notions vagues et puissantes, comme «
109
l’autre dans la position qu’on nomme pat, « coup
où
l’un des joueurs n’ayant que son roi qu’il puisse jouer, et ne l’ayan
110
s que dans le cas d’une Europe vraiment unie, par
où
j’entends une Europe intégrale incluant les pays de l’Est, dotée d’un
111
me. La seule victime des polémiques interminables
où
Sartre épuise une « vaine passion » morigénante sera-t-elle donc l’ex
112
stoire nous a réduits à l’état de neutrissimes. D’
où
peut venir cette tendance commune à juger des idées sur le vu d’un pa
113
iste est celui des privilégiés dans tous les pays
où
il détient le pouvoir. En France, il n’est encore que le parti privil
114
er a voulu faire l’Europe, et Napoléon avant lui.
Où
prend-on cela ? Ces dictateurs rêvaient sans doute d’annexer l’Europe
115
e : c’est le procédé sportif du handicap. Partout
où
le libéralisme s’y refuse, appliquant ses principes aveuglément, il j
116
les générations que nous pourrons les supputer. D’
où
cette enquête. Elle ne portera pas sur les moyens politiques ou écono
117
nges de courtoisie, c’est le seul cas, peut-être,
où
la démocratie semble à peu près rejoindre, sans tricher avec ses prin
118
t beaucoup se sont arrêtés à l’un ou à l’autre. D’
où
trois ou quatre écoles, dont voici les maximes. 1. Il ne faut plus de
119
Il doit paraître antipathique dans la mesure même
où
il tend à frustrer notre besoin de sensations. Or ce besoin ne pouvan
120
l’Occident. Le spoutnik lui-même, dans la mesure
où
il manifeste un succès de la Technique créée par les savants européen
121
acte que la nouvelle, littéralement, lui donne. D’
où
l’on déduit que, sans agences, il n’y aurait pas non plus de nouvelle
122
s arrêtent une doctrine et un programme précis, d’
où
devait résulter toute l’action ultérieure pour la fédération de l’Eur
123
ues, dans la mesure — souvent faible d’ailleurs —
où
nous les modelons sur les faits. Comment mettre un peu d’ordre en ces
124
se voient bientôt conduits dans un ordre d’action
où
ce n’est plus la dent dure mais la vision lucide et la main ferme qui
125
arbres, maisons, collines, perdent le seul relief
où
pouvait s’attacher l’amour. Notre émotion devant les paysages de la T
126
albutier déjà dans les romans de science-fiction,
où
la Terre, vue de loin, devient objet d’amour, de nostalgie ou de ranc
127
n simple éloignement (au double sens de ce mot) d’
où
sa fréquente ambivalence. Chateaubriand, prévoyant la venue d’une soc
128
r à rompre certains liens, et cela se comprend. D’
où
leur « avance technique » incontestée. Mais la science est d’Europe —
129
due décadence de l’Occident (avril 1958)as D’
où
vient l’idée ? Une décadence réelle peut n’être pas sentie ni repé
130
combien de passions sont nées à l’instant précis
où
l’on a cru perdu ce que l’on découvre aimer. Mesures d’une décaden
131
peuples, et marquer un progrès pour tout homme d’
où
qu’il vienne qui les prend pour guides ou repères ? Je fonderais pour
132
x, ou pour mieux dire la « découverte » des lieux
où
il convient de bâtir un sanctuaire, une ville, voire une simple maiso
133
cle, qui lui avait dit d’aller bâtir une ville là
où
il trouverait la pluie et le beau temps, il rencontra en Italie une c
134
nel, j’avance alors un candidat : le pays de Gex,
où
est Ferney. Morceau de France détaché vers la Suisse au‑delà de la ba
135
’auto de Turin. À l’est, Divonne, avec son casino
où
l’on sacrifie à la Chance. À l’ouest, l’auberge de Thoiry où Stresema
136
rifie à la Chance. À l’ouest, l’auberge de Thoiry
où
Stresemann et Briand fraternisèrent dans une première ferveur europée
137
que l’électeur n’y aura rien vu, dans l’ignorance
où
il est des premiers rudiments de l’attitude et de la pratique fédéral
138
onne pour exemple « la fédération américaine ». D’
où
l’on conclut qu’une seule et même réalité correspondant aux deux mots
139
xtrême insoutenable du régime fut atteint le jour
où
l’assemblée prise de panique fit sa plus grande majorité depuis douze
140
’il le faut, provisoirement, en attendant le jour
où
l’on prendra le pouvoir. Au contraire, dans une fédération, un parti
141
ttraper en multipliant les piqûres. Jusqu’au jour
où
ce « régime » épuisant, se reconnaissant épuisé, s’abandonne au médec
142
aire pour un temps. Post-scriptum À l’heure
où
j’écris, ce 10 août, le débat se déchaîne, comme je l’avais prévu dan
143
démocratie est ce qu’en dit le Littré, un régime
où
le peuple exerce la souveraineté, elle n’a jamais été réalisée et ne
144
itement convenu d’appeler démocraties les régimes
où
le peuple, qui ne saurait l’exercer, délègue la souveraineté à qui lu
145
démocratie formelle (ou réactionnaire) un régime
où
les droits politiques sont garantis par le libre jeu des partis et de
146
que se passerait-il dans le cas, fort improbable,
où
l’on renoncerait à invoquer ce terme, qui ne signifie plus rien puisq
147
yran sans frein ni loi — tandis que dans le monde
où
Dieu existe, qui est celui du général de Gaulle, la tyrannie totalita
148
iété ou de leur portée humaine, ces œuvres seules
où
transparaît, dominateur, l’archétype médiéval de Tristan. Je ne sais
149
s’interdisant de parler de l’argent et du sexe, d’
où
le choc révélateur produit par Marx et Freud), la passion qui est tou
150
ion concevable ou déclarée en fait, dans un monde
où
tout est permis. Car la passion suppose toujours, entre le sujet et l
151
N’en sommes-nous pas au point de notre évolution
où
, tout étant réduit, « ramené à » comme on dit, profané, décapé des il
152
s d’amour-passion, au xxe siècle Trois œuvres
où
transparaît l’archétype de Tristan nous sont données vers ce milieu d
153
eu en Amérique, la découvre dans une petite ville
où
il prend ses vacances. Coup de foudre. Intrigue démente pour posséder
154
un bout à l’autre des États-Unis73. Jusqu’au jour
où
Lolita s’échappe, séduite par un autre homme d’âge mûr qu’Humbert tue
155
mort de la mère dans Tristan !) Le nom de l’hôtel
où
se passe la nuit de la séduction, les Chasseurs enchantés, rappelle v
156
est mort à peu près ignoré, tout près de ce lieu
où
j’écris, — j’étais alors en Amérique — et son œuvre, en partie posthu
157
omme ces journées d’arrière-automne à la montagne
où
l’air a quelque chose d’exsangue, d’agonisant, tandis que les couleur
158
parc, dans Vienne. Souvent, même dans les années
où
Ulrich avait cherché sa voie seul et non sans insolence, le mot de sœ
159
t il serait curieux de chercher pourquoi l’époque
où
se passe le roman de Musil — veille de la guerre de 1914 — connut peu
160
ersonne rêvée et même ne faire qu’un avec elle. D’
où
les innombrables confusions qui donnent au naïf commerce de l’amour u
161
’épier derrière le rideau des yeux d’un autre. D’
où
l’illusion que le Moi s’abolit dans cette Nuit de l’indistinction que
162
me ne va jamais si loin que lorsqu’il ne sait pas
où
il va… Ils étaient debout maintenant sur un haut balcon, entrelacés e
163
e frère et la sœur qui s’aiment, dans leur jardin
où
choit sans fin du haut des arbres sur le vert assombri des pelouses l
164
s pour le livre. Au terme d’un périple romanesque
où
tous les thèmes constants de la passion sont apparus et ont grandi l’
165
version américaine du « réalisme socialiste », d’
où
l’amour-passion est exclu. Or je vois triompher dans ce même public d
166
u Docteur Jivago l’objet d’une polémique mondiale
où
l’URSS et l’Ouest s’affrontent une fois de plus, pour des raisons, d’
167
es réunit dans une maison perdue au fond des bois
où
Jivago se cache, traqué par la nouvelle police d’un régime qu’il a po
168
gamine ». Le docteur réussit à rejoindre Moscou,
où
il vit misérable et caché. Il épouse sans amour une jeune fille qui s
169
nous en lisons les termes anticipés dans la scène
où
Komarovski (l’intrigant qui a su détourner à son profit le Pouvoir né
170
out ce qui règle officiellement la vie sociale. D’
où
la présence continuelle, dans nos trois romans tristaniens, de la Soc
171
staniens, de la Société et de ses conventions ; d’
où
la critique mordante à laquelle les soumet le héros, parlant pour l’a
172
ous qu’au moment où ceux-ci commencent à faiblir,
où
les violer est encore scandaleux mais n’entraîne pas la mise à mort i
173
’aller dans leurs romans jusqu’au point périlleux
où
le scandale reste efficace tandis que la censure hésite. Le Roman de
174
de Tristan n’apparut dans l’histoire qu’au temps
où
la réforme grégorienne et les abus qu’elle combattait venaient de dre
175
uvert du mythe. Tel est le « terrain » biologique
où
le roman trouve les meilleures chances à la fois de se déclarer et de
176
ingt ans (fiancée d’un officier retour d’Algérie,
où
il avait aussi vu des croix gammées) qui fut Goering : elle ne connai
177
eposent leur « problème éternel » dans les termes
où
vous le faites encore. Ce premier objectif est atteint. Un tout autre
178
es, dont la seule perspective vous fait trembler.
Où
prenez-vous qu’elle soit le souci majeur, la manie caractéristique de
179
evant une forêt de micros. Autour de la clairière
où
se tiennent les prisonniers, aveuglés par les flashes, rôdent les cha
180
oyers les plus paisibles. Mais à l’instant précis
où
se croisent les deux séries, tout devient d’un seul coup absurde et r
181
t son autorité. J’écrivais : Dans la mesure même
où
Kassner se montre disciple de Kierkegaard, sa pensée paraît réfractai
182
assner, comme aussi de son apparente obscurité. D’
où
provient cette obscurité si fascinante ? De cela sans doute que Rudol
183
té plus absolue. Telle est la forme des dialogues
où
culmine son art. De ces dialogues, où chaque interlocuteur, tour à to
184
s dialogues où culmine son art. De ces dialogues,
où
chaque interlocuteur, tour à tour, atteint à l’expression la plus vir
185
apparence, le problème chrétien du Dieu-Homme, d’
où
naît celui de la personne, générateur de l’Occident. Problème ambigu
186
Sierre en Valais, non loin de cette tour de Muzot
où
Rilke passa la fin de sa vie. À travers les longs corridors d’un chât
187
’isole dans la seule profondeur de sa vision83. D’
où
sa curiosité avide et amusée pour tous ceux que l’on pouvait connaîtr
188
ence d’une maîtrise achevée, comme infaillible. D’
où
l’image qui me vint à l’esprit, pendant notre première rencontre, de
189
et atteint à chaque coup le centre de la cible. D’
où
mes allusions répétées à la technique du zen-bouddhisme — que je voud
190
hr), de la Personne et de la Liberté. Monde viril
où
ne peut régner que « cette prose qui exclut les vers : Blaise Pascal,
191
comme absorption totale du contenu dans la forme,
où
il voit un équivalent de l’unité du Tout et du Rien, maintenus ensemb
192
e, tient cachée : C’est lorsqu’un pur essor vers
où
? Aura vaincu l’orgueil puéril Qu’enfin, submergé par son gain Celui
193
t que je vise est toujours dans le fini. Le point
où
tombe la flèche, c’est le fini (sans limites). À la place de ce fini
194
nt toujours ailleurs, au tout unique, à l’infini,
où
se rejoignent d’un seul coup, dans l’illumination de la vision (dirai
195
s Propos recueillis par Kensik (Gedenkbuch, 1954)
où
je lis à propos de Kierkegaard, de son père, de sa fiancée, de sa mél
196
: nous ne sommes pas si différents, mais alors ?
Où
sont nos certitudes, nos refus bien tranchés, nos raisons de nous haï
197
ressembler de plus en plus, dans toute la mesure
où
ils se rapprocheront de leurs buts, dans la mesure donc où l’URSS rat
198
rapprocheront de leurs buts, dans la mesure donc
où
l’URSS rattrapera l’Amérique. (J’entends bien sur cette Terre, non da
199
s, la question de l’absence de l’Europe aux lieux
où
se discute son sort et le sort d’un monde né de ses œuvres. J’enchaîn
200
s qui dépassent tous les conflits antérieurs ». D’
où
le désarroi du « Congrès pour la liberté de la culture », qui avait «
201
enser à autre chose. » C’est dans la seule mesure
où
nous refusions le mensonge en service commandé pour le douteux profit
202
oire, cesse de s’opposer à la paix dans la mesure
où
elle cesse d’être une lutte. Ehrenbourg est pour les échanges, comme
203
ce et au service des libertés de l’esprit partout
où
elles sont attaquées, une certaine force de frappe, de protestation e
204
es menaces contre la liberté, de la misère morale
où
vivent (en Occident au moins autant que dans les pays techniquement n
205
, les idées et les actes, maintenir une tradition
où
l’on se sente chez soi. C’est donc d’abord permettre à l’homme de se
206
symboles : — celles du corps et de l’intellect (d’
où
la technique) dont s’occupe surtout l’Occident ; — celles de l’âme vi
207
utile d’insister sur ce fait, ici, dans ce Berlin
où
elle nous cerne de toutes parts. Mais nous refusons d’accorder à la p
208
e ces routes, hormis le vent dont on ne sait ni d’
où
il vient ni où il va. Kierkegaard, « In Vino Veritas ». Kierkegaard
209
ormis le vent dont on ne sait ni d’où il vient ni
où
il va. Kierkegaard, « In Vino Veritas ». Kierkegaard a vécu l’amour
210
un « Don Juan de la connaissance », jusqu’au jour
où
il s’arrête, « cloué », sur le seuil d’une Éternité en laquelle il dé
211
cherché bien longtemps le point de perspective d’
où
le regard puisse embrasser à la fois ces deux vies dénuées et ces deu
212
me au gré d’un vent soudain, dont on ne sait ni d’
où
il vient ni où il va. Kierkegaard et Don Juan C’est au cœur des
213
vent soudain, dont on ne sait ni d’où il vient ni
où
il va. Kierkegaard et Don Juan C’est au cœur des grands bois du
214
l’amour sensuel disparition dans le temps »99, d’
où
vient que la musique est son parfait médium. Pour Don Juan, « la fémi
215
ait découvert à la fois le médium et l’idée », d’
où
« la valeur classique absolue » de son opéra. On pourra multiplier le
216
nication indirecte, voilée, rejoignant l’homme là
où
il existe, dans sa finitude, et lui parlant la langue qu’il entend. M
217
e message devient énigmatique dans la mesure même
où
il a su se rendre perceptible… Ce qui se passe entre Kierkegaard et s
218
ur qui « entraîne » et transfigure dans la mesure
où
il est par essence malheureux, ce n’est pas l’Éternel féminin mystiqu
219
t seul à la campagne, ce jour-là, « à Fredensborg
où
souvenir et nostalgie s’embrassent. C’est ce moment que j’aime tant »
220
e, loin de Triebschen, loin de Bayreuth surtout —
où
l’auteur de Tristan est l’époux comblé de Cosima… — loin du Nord déso
221
lle recoins de ce chaos de rochers près de Gênes,
où
je vivais tout seul, en une familière intimité avec la mer. »117 Il v
222
re sainte » — tiendra-t-il à préciser plus tard —
où
Richard Wagner meurt à Venise118. Que dit Zarathoustra ? « Insouciant
223
Isolde, ce billet qu’il écrit pour Cosima au jour
où
la démence éclate : « Ariane, je t’aime ! signé : Dionysos. » Le Cas
224
Le dernier aphorisme d’Aurore se termine ainsi :
Où
voulons-nous aller ? Voulons-nous donc franchir la mer ? Où nous entr
225
-nous aller ? Voulons-nous donc franchir la mer ?
Où
nous entraîne cette passion puissante, qui prime pour nous sur toute
226
l éperdu dans cette même direction, vers le point
où
jusqu’à présent tous les soleils déclinèrent et s’éteignirent ? Dira-
227
e contente de conquêtes faciles. (Mais je ne sais
où
l’on prend que Don Juan les dédaigne ? N’aurait-on jamais lu le Catal
228
an, toujours aimé, ne peut pas aimer en retour. D’
où
son angoisse et sa course éperdue. L’un recherche dans l’acte d’amour
229
te donc en permanence. Au surplus, dans la mesure
où
la conduite, la pensée et l’affectivité d’un même individu sont disso
230
ain, c’est l’un de ces cavaliers sortis des temps
où
les hordes nomades apparaissaient soudain sur les terres des premiers
231
is ne saurait être en aucun cas statique, au sens
où
la supposent la morale sociale et ses lois laïques ou religieuses. Ca
232
Une certaine dualité est normale, dans la mesure
où
elle ne fait que traduire la formule même de la vie sur tous les plan
233
oyau mais également à l’œuvre dans le cytoplasme,
où
ils sont les agents d’induction de la synthèse des protéines. Tant qu
234
les attachements terrestres, — elle veut ce ciel
où
l’amant et l’aimée se confondent en un seul être, dans le règne sans
235
l’énigme jamais résolue de ce nirvana romantique (
où
le Souffle du Monde est encore une « tourmente » !) que nous laissent
236
ur réel : car sans prochain, l’amour ne sait plus
où
se prendre. Tout amour véritable est relation réciproque. Cette relat
237
Mémoires, et pas seulement aux premières phrases
où
il compare la France à la « princesse des contes… vouée à une destiné
238
émentaire de choisir leur régime et d’aller vivre
où
ils le veulent, et comme ils veulent, qu’il y a un problème de Berlin
239
hem, qui écrit longuement sur le mur de Berlin. D’
où
vient ce très curieux esprit ? À l’en croire, le mur de Berlin est l’
240
régime qu’ils avaient fui ». (Mais si c’est vrai,
où
est la « nécessité vitale » du mur ?) 3°) L’Est doit être indemnisé p
241
mation avait lourdement grevé le budget d’un pays
où
l’État assume pleinement son devoir d’instruction publique ». L’auteu
242
es chevronnés ont déploré cette « journée noire »
où
de Gaulle les avait empêchés de sacrifier les buts proprement politiq
243
se bornait à tolérer en fait, dans le temps même
où
l’Angleterre le refusait, puis s’y opposait de toutes ses forces. En
244
est plus petite que n’était la Suisse à l’époque
où
elle s’est fédérée. Et les disparités de coutumes ou de richesse, de
245
e Europe des cités, formée de très petits États «
où
tous les citoyens se connaissent mutuellement », mais qu’unissent les
246
ue ». Germaine de Staël est Suisse dans la mesure
où
elle ouvre des perspectives européennes, soit par son action personne
247
éennes, soit par son action personnelle à Coppet,
où
les meilleurs esprits de nos diverses nations se lient d’amitié, soit
248
est peut-être souvenu de son passage à Neuchâtel (
où
il fut un temps typographe) en écrivant son grand livre, Du principe
249
e pour qu’il y ait dans le monde un coin de terre
où
le plus grand nombre d’habitants puisse jouir de la qualité de citoye
250
nification se révèle plus efficace dans un milieu
où
les relais d’exécution sont nombreux et organiquement distribués. Aux
251
eraient les excès et les crises du libéralisme là
où
il existait, et l’on baptisait « plan » l’ensemble de ces décrets, ce
252
yse : celles-ci marquent avec précision le moment
où
les instruments de certaines activités, trop onéreuses ou par nature
253
etit peuple pacifique, ce petit peuple égalitaire
où
la femme n’a pas le droit de vote mais « cuit à l’électricité », six
254
’y aura plus d’Europe. À mi-chemin entre le temps
où
j’écrivais le Message final du premier congrès de l’Europe à La Haye,
255
remier congrès de l’Europe à La Haye, et le temps
où
l’Europe unie sera sans doute un fait accompli, je propose mon dessei
256
r des prés et des bois secrets. Les quais de gare
où
toutes les races du monde se mêlent à nos derniers paysans dans une o
257
n (novembre 1966)bk Vers cette forêt de plaine
où
je vais chaque jour, j’ai marché sans penser à rien, dans l’odeur vég
258
yeux sévères des jeunes mouvements personnalistes
où
je militais, cessât tout d’un coup d’être un mythe pour devenir du mê
259
l’avais rencontré à l’Office of War Information,
où
je venais de prendre un poste. J’écrivais deux longs textes par jour
260
urs dans une vaste demeure aux portes condamnées,
où
chaque invité amènerait une personne inconnue des autres, tous étant
261
is Breton ne s’est mieux défini. Je pense au soir
où
il déclara qu’il était temps d’aller regarder de plus près qu’on ne l
262
tifique de Bachelard. J’ai souligné le paragraphe
où
l’on explique que selon la théorie de Millikan sur les rayons cosmiqu
263
ue je la préconise. Pourtant je connais un groupe
où
cela marche très bien : c’est la famille… N’est-ce pas ? Les enfants
264
ratiqué bien avant cette époque de l’après-guerre
où
le mot fit la fortune soudaine de ceux qui nous laissaient la chose14
265
is elles sont rares précisément dans les périodes
où
l’on agit) ou à les confronter avec les lettres, brouillons, procès-v
266
a ramené toutes choses au niveau du « possible »,
où
l’on peut être sûr qu’il n’y aura pas de miracle. Le congrès de Mon
267
urez l’occasion de prendre contact avec un groupe
où
vous ne trouverez que des amis et des disciples. » notes de journal,
268
de camaraderie retrouvée et d’une grande aventure
où
s’engager, j’étais loin de mesurer l’importance objective de ce qui v
269
vec Harro Schulze-Boysen), mais non pas l’Italie,
où
le fédéralisme apparut d’une manière autonome dans les camps des îles
270
un petit restaurant en face de Victoria Station,
où
il avait jadis coutume de retrouver Joseph Conrad. Nous convînmes que
271
e en noir qui porte une longue chaîne en sautoir…
Où
suis-je ? À quelle époque ? Dans un rêve ? Que se passe-t-il ? « Chur
272
nuellement en lutte avec eux-mêmes, c’est le lieu
où
aucune certitude n’est acceptée comme vérité si elle n’est continuell
273
sage aux Européens revendiquait « une assemblée…
où
soient représentées les forces vives de toutes nos nations », thèse d
274
était entendu qu’à la fin de la séance de clôture
où
je lirais ce texte, tous les congressistes, Churchill en tête, signer
275
t me voir d’urgence dans la salle des Chevaliers,
où
la séance plénière de la section économique prenait fin. Je vis Churc
276
pez de moyens, ils risquent bien de vous conduire
où
vous ne vouliez pas aller… Voici donc le dilemme présent : si nous at
277
i touche à l’État-nation : néfaste dans la mesure
où
il est encore réel, inexistant quand on voudrait compter sur lui. Je
278
épartir l’État aux différents niveaux de décision
où
il peut servir une entité vivante, civique, économique ou culturelle,
279
de la planète indispensable au Monde de demain et
où
les hommes pourront trouver non pas le plus de bonheur, peut-être, ma