1
e la décrire par ses symptômes cliniques, comme l’
obsession
qu’elle est ; ou parler de la Révolution sans la prêcher ni la maudir
2
contre une moitié du peuple, le Parti vit dans l’
obsession
des « ennemis de la liberté », appelant ainsi ceux qui diffèrent et p
3
vers quoi », sans cause ni but. On retrouve ici l’
obsession
du mouvement pour le mouvement même, qui définit la politique des jac
4
presque tous les romantiques allemands ont subi l’
obsession
de ce thème : pour eux, comme pour les Tasmaniens, les Indiens Algonq
5
tions révolutionnaires, l’autre des sentiments et
obsessions
que bien peu d’hommes et moins encore de femmes ont pu vivre aux État
6
et nous réduisaient à cela. C’était notre unique
obsession
, notre seule raison d’être, et notre profession. Tout était donc perm
7
s frustrations ou l’impuissance, la solitude ou l’
obsession
de l’abandon, l’angoisse ou la vulgarité d’esprit et d’âme — ces deux