1 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
1 nd à rejoindre, à la limite, les despotismes de l’ Orient ou de l’Antiquité, au point de vue de l’oppression des individus. Cep
2 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
2 ent y suffire. Inconnus de l’Antiquité comme de l’ Orient d’avant notre influence, inconcevables hors du christianisme quoique
3 cipales de l’Occident. Il ne ramène pas l’âme à l’ Orient symbolique, comme par une double négation, car l’Orient ne connaît pa
4 symbolique, comme par une double négation, car l’ Orient ne connaît pas ce tragique absolu qui naît de l’acte irréversible, en
5 e la passion. Il fleurit sur l’abîme qui sépare l’ Orient magique de l’Occident tragique, et cet abîme n’est autre que le verti
6 hénomène, je l’ai dit, sont inconnues dans tout l’ Orient , qu’il s’agisse des empires aryens ou dravidiens, khmers ou mongols,
7 neuf. Toutes nos révolutions s’en souviendront. L’ Orient n’a pas connu pareille coupure des temps — cette coupure de l’histoir
8 un vrai dialogue illuminant entre l’Occident et l’ Orient . Or, voici justement ma seconde raison : c’est que l’Asie tout entièr
9 lisme occidental « attrapé » par les peuples de l’ Orient comme de notre rhume de cerveau, souvent mortel pour les Polynésiens.
10 s de défense du corps social ne s’exerçant pas en Orient , la maladie nationaliste peut y prendre demain une virulence inouïe.
3 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
11 et naturelles — une dignité et une réalité que l’ Orient leur dénie par principe. Enfin, nous avons vu que la foi met un terme
12 ntiquité. Ou bien l’on pose, comme les sagesses d’ Orient , l’identité des contraires apparents : tout est dans tout, bien sûr,
13 sie du matérialisme Comparé aux religions de l’ Orient , le christianisme pourrait être qualifié de matérialisme, en tant que
14 ons du type oriental. C’est la rupture avec cet «  Orient  »-là, consécutive à la Renaissance, et consommée dès l’aube de l’ère
15 onophysisme, et c’est alors que se définiront « l’ Orient  » et « l’Occident » du christianisme. L’orthodoxie catholique ne sera
4 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
16 e. Jusqu’alors et à cet égard, c’est à peine si l’ Orient se distingue de l’Occident. Les jonques chinoises sont supérieures au
17 temps ascèse et renoncement, en Occident comme en Orient . (En fait, elle est surtout — et devrait être — accession à la vérité
5 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (mars 1957)
18 , moyennes ou petites nations de l’Europe ou de l’ Orient . On peut encore les manœuvrer sans bouger ces rois impossibles, paral
6 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
19 emps, la transmutation créatrice des valeurs de l’ Orient et de l’Occident.   Je ne pouvais présenter Kassner à des lecteurs do
7 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
20 et sacré ? Lorsque les croisés se heurtèrent en Orient à l’invincible ordre des Assassins — écrivait Nietzsche en humeur don
21 « Aime et fais ce que tu veux », dit Augustin. L’ Orient hindouiste et bouddhiste n’a pas dit autre chose avant eux, ni les my
8 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
22 éé la notion de genre humain — ignorée ou niée en Orient — par saint Paul et les Pères de l’Église ; et la notion de droit des