1 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
1 peut-être qu’une seule chose : la conscience des périls qu’elle encourt, que tous nos pays courent ensemble, — et la conscien
2 par le fait qu’ils succomberont demain aux mêmes périls , s’ils ne trouvent pas ensemble leur salut. La recherche des origines
3 s querelles : mais c’est la seule vision du grand péril que tous nos pays courent ensemble, qui nous en donnera les moyens, c
2 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la honte et l’espoir de l’Europe (janvier 1957)
4 verra l’Europe nue se lever lentement, mesurer le péril à la grandeur de notre humiliation, et peut-être saisir une arme : l’
3 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (mars 1957)
5 ccidentelle, a suffi pour nous faire entrevoir un péril jusqu’alors inconcevable : celui d’une paix conclue sur notre dos, au
4 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
6 t assez saint ou assez fort pour oser assumer les périls supposés de l’acte de défloration, — périls de l’âme, perte de la man
7 r les périls supposés de l’acte de défloration, —  périls de l’âme, perte de la mana. Ainsi le jus primae noctis serait plutôt
5 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
8 ris, est affirmée comme seul moyen de prévenir le péril de la colonisation par un parti ou par une monnaie. Le mythe du choix
6 1970, Preuves, articles (1951–1968). Dépasser l’État-nation (1970)
9 us voici contraints de le faire, à nos risques et périls  ! Nous voici contraints de nous demander ce que nous attendons de not