1
e drame vécu par Kierkegaard et nous suggèrent un
parallèle
possible. L’histoire d’Hamlet peut se résumer ainsi : un jeune homme
2
? Il reste à voir s’il est possible de pousser ce
parallèle
beaucoup plus loin dans le détail. Ce serait peut-être un bon moyen d
3
ndus. Et ils risquent aussi leur bonheur. Ici, le
parallèle
semble parfait. Le bonheur, la pleine participation à la vie, le sign
4
e drame de ses fiançailles. Il semble donc que le
parallèle
que j’ai risqué se soit offert à l’esprit de Kierkegaard, et qu’il ai
5
Ici prend fin, ici « échoue sur l’existence » le
parallèle
que je viens d’esquisser. J’ai tenté d’illustrer, par le moyen d’imag
6
qu’hors de lui. Reprenons une dernière fois notre
parallèle
dramatique. Il nous faut reconnaître, enfin, que la mission reçue par