1
rivains et proclamez « qu’il y a de l’indécence à
parler
de culture quand la famine sévit » : tonnerre d’applaudissements et t
2
Pourquoi ne pas avouer qu’il y a de l’indécence à
parler
de culture tout court ? Certes, on n’aimerait pas le dire, mais c’est
3
st de culture, non point de politique, qu’on doit
parler
dans un pays comme l’Inde, sans cesse menacé de famine. Et cela vaut
4
a pensée libre apparus depuis cinquante ans : ils
parlent
d’eux-mêmes et leur langage sera plus convaincant que tous les argume
5
de l’homme introduite par le christianisme. Je ne
parle
pas ici de l’homme proprement chrétien, au sens courant, de membre d’
6
embre d’une Église, de l’homme pieux et moral. Je
parle
d’une manière plus générale du type d’homme (croyant ou non) que seul
7
uvert le reste du monde — et non l’inverse. Je ne
parle
pas seulement des grands voyages qui ont permis de relever la carte d
8
ts ou les gratte-ciel à nos pittoresques taudis ;
parlons
en égaux différents. Alors, entre les meilleurs Européens, voués aux
9
dans sa vie. C’est bien ainsi qu’Hamlet pourrait
parler
de la scène du spectre. Et, d’autre part, c’est l’influence de son pè
10
sprit et, de plus, toutes les souffrances dont on
parle
généralement dans le monde. Un témoin de la vérité, c’est un homme qu
11
bien d’un véritable témoin de la vérité que nous
parle
le professeur Martensen — et puis enfin crucifié, décapité, brûlé ou
12
d’une fois de ne plus bien savoir lequel des deux
parlait
et de m’imaginer qu’Hamlet avait été écrit par Kierkegaard, voire qu’
13
rme. Quand Jérémie reçoit de l’Éternel l’ordre de
parler
aux nations, il répond : « Je ne suis qu’un enfant, voici, je ne sais
14
Je ne suis qu’un enfant, voici, je ne sais point
parler
. » Nous dirions qu’il n’a pas la vocation. Précisément, il la reçoit.
15
la : « Est-ce ma nature secrète ou l’esprit qui a
parlé
? » En fait, l’homme de la vocation se trouve plongé dans une double
16
ler la psychologie d’une vocation en exercice. Il
parle
de sa totale solitude. Il se dépeint non seulement privé de confident
17
her. Cette « lumière sur mon sentier », dont nous
parle
un psaume de David, n’éclaire pas au loin une voie tracée d’avance :
18
rs 1953)k La démission de M. Trygve Lie a fait
parler
d’une crise des Nations unies, par conséquent de la politique mondial
19
entre les petits exécutifs spécialisés dont nous
parlions
et les instances gouvernementales se révèle là encore le plus pratiqu
20
e. Voir l’Europe dans le Monde. — Dès que l’on
parle
du destin commun de nos pays, des voix s’élèvent pour dénoncer je ne
21
cœur. On voit bien où le bât les blesse. D’autres
parlent
d’humilité, et battent la coulpe de l’Europe colonialiste sur la poit
22
un siècle. La table ronde ne pouvait manquer d’en
parler
à son tour. Par malheur, elle m’a paru retomber dans l’illusion qu’il
23
plus quelle Europe nous défendrons. Celle dont je
parle
est une notion de l’homme, et non pas une somme d’intérêts dont le re
24
putés en sursis, qui ont donc à peine le droit de
parler
au nom d’une seule ? C’est aux Français, d’abord, qu’on voudrait s’ad
25
iéter, mais c’est gênant, car la chose dont on me
parle
n’existe pas. La « musique moderne », en effet, n’est guère plus qu’u
26
e », en effet, n’est guère plus qu’une manière de
parler
. C’est l’invention de ceux qui ont décidé qu’après Wagner, il n’y ava
27
u’elle ne ressemble pas à celle que l’on aimait.)
Parler
de musique « moderne » en général, comme on le fait, c’est supposer q
28
ont le dessin reste inconnu, — s’il en est un. Ne
parlons
plus de « musique moderne ». Parlons seulement d’œuvres contemporaine
29
n est un. Ne parlons plus de « musique moderne ».
Parlons
seulement d’œuvres contemporaines. ⁂ Il faut pousser plus loin le par
30
ir comment le dire autrement que le dernier qui a
parlé
et que ceux qui l’ont précédé. Mais les grands ont tous commencé par
31
nt précédé. Mais les grands ont tous commencé par
parler
le langage de leurs aînés, quitte à le modifier tout insensiblement s
32
sait quelle logique hégélienne de l’Histoire. Ils
parlent
beaucoup des « nécessités de l’époque » empruntant au vocabulaire éco
33
tant avec âme des sophismes vulgaires. De Gasperi
parlait
d’une voix sévère et fraternelle, avec une force peu commune. C’était
34
toutes les autres femmes ? » Jamais il n’a voulu
parler
de la « grandeur » de l’Italie, mais il s’est contenté de restaurer s
35
itulation son raisonnement et son instinct. » Qui
parle
ainsi ? Au nom de quelle puissante « action » qui a « contribué à l’é
36
mesure sa propre réaction à propos de ces pages.
Parler
de la passion autrement qu’en récrivant Wuthering Heights ou en ajout
37
mes cliniques, comme l’obsession qu’elle est ; ou
parler
de la Révolution sans la prêcher ni la maudire, mais en établissant l
38
on voit qu’elle met en déficit la liberté ; enfin
parler
de la nation non point comme d’une idole sanguinaire et bornée, mais
39
tirer, vont essayer de faire la loi en Europe. On
parlera
beaucoup de « concert des nations », et de « droit international », m
40
d’abord par une hérésie toute contraire : je veux
parler
du docétisme, qui tenait le corps du Christ pour une simple apparence
41
le VIe concile de Constantinople. 20. Je ne veux
parler
ici que d’incompatibles réels. Certains incompatibles aujourd’hui rec
42
uts derniers de son existence se met fatalement à
parler
des « exigences de la technique ». C’est alors seulement que la techn
43
ble ; non pas elle, il est vrai, mais l’homme qui
parle
ainsi. Ernst Jünger a bien vu que la technique tend alors vers une mo
44
tification ou de camouflage. Rien ne prouve qu’il
parle
au nom de la santé, lorsqu’il en appelle de la dictature d’un paranoï
45
chefs se sente comptable envers qui que ce soit.
Parler
de « direction collégiale » dans un régime monolithique, c’est une si
46
t de l’Histoire ». Ces réalistes me diront : vous
parlez
au nom de la morale, mais K. et ses amis ont bien d’autres problèmes.
47
peuplés. Oui, c’est bien de morale qu’il faut ici
parler
, de morale politique et sociale, on l’entend, la seule qui non seulem
48
jamais fait de mal qu’à leur auteur. Mais Sartre
parle
d’un « culte de la personne ». Étrange erreur, venant d’un philosophe
49
x pas de conditions politiques. B. Je n’en ai pas
parlé
. J’allais dire justement que mes capitaux seraient administrés par vo
50
ais je ne sais toujours pas de quelle Europe vous
parlez
. B. De celle qu’il nous faut faire, ne fût-ce que pour sauver l’objet
51
ques, comme Daniel-Rops, et un pasteur-député ont
parlé
de l’affaire en France. Il est vrai qu’Émile Roche les a suivis dans
52
e Monde , mais cela n’arrange rien : le Kremlin a
parlé
; Nasser est un dictateur de gauche ; la souveraineté nationale est u
53
s ? Jamais je ne me suis senti si libre ! » Ainsi
parle
Joliot-Curie, au congrès du PC français. Cela prouve qu’il n’est pas
54
de tricher, de mentir, de fermer les yeux, et de
parler
de progrès en vous faisant les poches. La fameuse souveraineté nation
55
llot (Stravinski restant loin derrière). Et je ne
parle
même pas du monde du cinéma, où la minute de pellicule multipliée par
56
de nos rêves millénaires sont déjà des réalités :
parler
au loin, voler dans la hauteur, transmuter l’or, prolonger la durée d
57
ellites et leurs chefs « adorés ». (M. Pierre Cot
parlait
ainsi de Rákosi, confirmé par bien d’autres députés, prêtres, pasteur
58
s de Berlin, de Poznań, leur permettrait ainsi de
parler
de Budapest ? Tandis que mon silence sur le Guatemala me l’interdirai
59
pleuré. Il est frappant que la presse n’ait guère
parlé
, ce matin, que des incidents qui ont suivi (chahuts devant un journal
60
rre d’Égypte absurde. Le fait que je n’en aie pas
parlé
dans mon appel ne saurait signifier que je m’en fasse le complice, pu
61
compris. C’est avec elle, maintenant, qu’il faut
parler
; qu’on peut agir. ad. Rougemont Denis de, « Sur la honte et l’es
62
is les arbres bordant la route de Gex à Genève me
parlent
chaque matin de son amour des lieux. Il fit venir de Genève cinquante
63
té européenne (mars 1957)af Pourquoi l’on en
parle
La neutralité est une idée neuve en Europe. Elle semblait jusqu’ic
64
jusqu’ici réservée à la Suisse. Et voici qu’on en
parle
même en France. Que se passe-t-il donc ? Dans la confusion générale,
65
nd d’une neutralité de l’Europe. Mais ceux qui en
parlent
sont les mêmes qui me disaient hier encore : « Qu’est-ce que l’Europe
66
onsable. On m’accuse dans Aspects de la France de
parler
indifféremment du nationalisme et de son idéologie : « Il devient las
67
d’ailleurs écrit pour un éditeur de New York, ne
parlait
que de l’Occident en général. Quant au premier, je crains qu’il ne s’
68
données de leur dessein personnel. Deux Français
parleront
aujourd’hui ; des Espagnols et des Italiens, des Allemands et des Sca
69
ut en interdire l’accès à ceux qui pensent et qui
parlent
comme cette dame. Ces hordes de barbares aux mollets nus qui se promè
70
face aux réalités. Quant à ceux qui viennent nous
parler
de « démocratie populaire », ils font un mensonge au carré, plutôt qu
71
es prétextes que fournit l’utopie démocrate. A. —
Parlez
plus bas, on nous entend aux autres tables ! R. — Croyez-moi, la Démo
72
Look back in anger », de M. John Osborne. Vous me
parliez
du théâtre d’avant-garde et vous mettiez en parallèle son cynisme et
73
oltantes ou en tout cas pointless. N’allez pas me
parler
surtout d’une querelle de générations ! Car il se trouve que ces homm
74
. Le charbon et l’acier étant mis en commun, sans
parler
de l’énergie atomique, si les Français et les Allemands décidaient de
75
us avez été surpris, ce n’est pas ma faute : j’en
parlais
ici même il y a tout juste un an68. C’est votre inattention qui m’a s
76
: elle ne rattrapera rien, le mal est fait. J’ai
parlé
de bêtise. Entendons-nous. J’appelle ainsi le complexe formé par la j
77
ent mettre un peu d’ordre en ces matières ? Je ne
parle
pas ici des fausses nouvelles, très rares et trop vite démenties par
78
s’il était suspect de s’en soucier. — Quoi ? nous
parler
de chiffres quand il s’agit de morale ? On voit bien votre jeu, monsi
79
uer si elles étaient mortellement menacées. Ainsi
parle
le Duc dans Mesure pour mesure : « Il reste à peine assez de vérité v
80
Mesures d’une décadence Que dit-on lorsqu’on
parle
d’une culture décadente ? Rien de certain tant qu’elle n’a pas été ré
81
ce n’est de vedettes, de princesses, de jeunesse,
parlons
d’une capitale, le grand public aime ça. L’union de l’Europe, questio
82
dans l’espoir de garder la CECA. L’élite niçoise
parle
de Nice, et tous les Belges veulent Bruxelles. Et chacun démontre à l
83
rtout et la frontière nulle part. Ou si l’on veut
parler
de sa circonférence (l’aire du rayonnement de sa culture) mettons qu’
84
du Français cultivé et qui tient à savoir ce que
parler
veut dire, le fédéralisme se réduit à un régime fort bon pour les sau
85
ne sont pas finis, c’est de cela qu’il nous faut
parler
et disputer, car ce que le monde entier attend de nous, ce n’est pas
86
ubles qu’elle prétend arrêter. Je n’ai pas encore
parlé
du statut des partis, de la stabilité de l’exécutif et de leur rappor
87
de ce traumatisme que fut la Terreur jacobine. Je
parle
évidemment des partis d’opinion ou d’idéologie, à la française, non d
88
est pas plus populaire qu’il est démocratique. On
parle
de plébiscite (du latin plebs, populace ou prolétariat, par contraste
89
tre partisans du confort ou du sens de la vie… On
parlerait
, en somme, des mêmes choses qu’aujourd’hui, mais ce serait plus clair
90
: ainsi, la bourgeoisie du xixe s’interdisant de
parler
de l’argent et du sexe, d’où le choc révélateur produit par Marx et F
91
qui l’a séduite et humiliée. Il m’interdit de lui
parler
. Je lui dis pourtant mon amour sous le couvert d’un roman plein d’all
92
is d’une moindre vertu spirituelle. J’aurais aimé
parler
de Musil, mais de lui seul… Et j’ai quelque scrupule à le faire figur
93
ille, et tous les autres exemples dont nous avons
parlé
, loin de relever de la monstruosité ou de la faiblesse, révèlent un r
94
Déjà alors étaient parus nombre de ces livres qui
parlent
, avec la candeur loyale d’un maître de gymnastique, des « révolutions
95
ou seulement Désir en soi ? Les héros de Musil en
parlent
avec une sorte de lucidité toute goethéenne, voire un peu didactique
96
d’un lecteur sera sincèrement choqué de m’en voir
parler
comme d’un roman d’amour. À vrai dire, ma thèse va plus loin : c’est
97
Le peuple russe condamne Pasternak pour avoir mal
parlé
des commissaires. Mais Pasternak les attaquait pour avoir trahi le pe
98
aveu décisif ; et cette ambiguïté qui m’arrêtait (
parlent
-ils donc, ces romanciers, d’une société, d’un paysage de l’âme, ou d’
99
e l’accuserez pas d’hypocrisie. Mais alors de qui
parlez
-vous ? De quels « Européens » qui méritent mieux ce nom ? Cette union
100
moins connu d’entre eux, si l’on songe à ce dont
parle
la presse dans ses rubriques dites « littéraires ». Première approc
101
nnaître à ce seul philosophe le privilège d’avoir
parlé
sans complicité de ce qui nous détruit : Rudolf Kassner donne la sens
102
aïeutique, s’exerçant sur les mythes de l’âme. Je
parlais
tout à l’heure d’ellipses « saisissantes » et c’était au sens littéra
103
près tout, n’était-ce pas ce que j’attendais ? Il
parlait
à bâtons rompus sur le dos des fervents indiscrets ! Et n’avais-je pa
104
l’image d’un maître zen m’était venue en écoutant
parler
Kassner. Et voici ce qu’il dit lui-même de la conversation telle qu’i
105
it à de sombres pensées lorsqu’il lui arrivait de
parler
de quatre grands boutons de nacre, fixés à l’habit d’un clown célèbre
106
ement d’éviter ces « cérémonies » ; de saluer, de
parler
, d’écouter, et de s’en aller sans bavures. 83. Kassner s’obligeait à
107
s la poursuite d’aucun objectif fondamental… Nous
parlons
de nous-mêmes comme d’une société achevée, qui a atteint ses buts et
108
ir l’Histoire ? Ni Khrouchtchev ni Lippmann n’ont
parlé
de liberté, de sagesse, de sens de la vie. Comme si la richesse était
109
s 1960)bb Il me sera d’autant plus facile d’en
parler
d’une manière détendue que ma seule intention, dans cette chronique,
110
vous, ce n’est pas quelque chose dont nous devons
parler
, mais quelque chose que nous devons créer, dont nous devons créer les
111
l a répondu à son salut, mais ils n’ont pas pu se
parler
. C’était le 17 mars 1855, à la veille du départ de Régine pour un lon
112
avant —, ni l’amour qu’on invoque ici, ne sont à
parler
proprement, des instincts. L’érotisme commence précisément avec l’usa
113
s secrète des choses qui, du fond de l’abîme, lui
parle
intelligiblement.116 Sans les paroles et l’image scénique, Nietzsc
114
va pas l’aimer ? Dans la seconde partie d’Ainsi
parlait
Zarathoustra se produit le coup de théâtre préparé par ces quelques a
115
rance du Temps et de l’Extase. Subitement, ce qui
parle
, c’est l’Ombre, c’est son ombre : Ô homme, prends garde ! Que dit mi
116
foulement temporaire de la « noble » passion dont
parlait
Nietzsche, pendant le siècle des Lumières. Comme on voit, en fermant
117
e mariage, ou le libertinage, ou la passion. Sans
parler
du ressentiment qu’il arrive à chacun des trois types, même réussi, d
118
urope forte et autonome, donc unie. Il n’a jamais
parlé
d’une « Europe des patries »134, pas plus que d’une « Algérie françai
119
l’Angleterre humaine, sensible, intelligente, qui
parle
ainsi, fait partie de l’Europe autant que la France, la Pologne, l’Es
120
ts techniques de communication entre les peuples.
Parler
de monde uni, d’humanité, que ce soit pour ou contre l’Occident d’ail
121
soit pour ou contre l’Occident d’ailleurs, c’est
parler
un langage européen. Or l’Europe doit s’unir pour durer, j’entends po
122
général. C’est en Suisse que Churchill choisit de
parler
de l’Europe, et que la même année 1946, les premières rencontres inte
123
otre neutralité n’y est que trop connue. Pourquoi
parler
toujours de cette vertu qui ennuie, de cette pratique négative, quand
124
une morale de la modestie ? La Suisse refusant de
parler
en faveur de sa propre formule, il reste à espérer que l’éloquence de
125
umettre toute l’Europe à la Suisse. Allez donc en
parler
à Berne, vous serez bien reçu ! Etc. Je ne vois rien de consistant ni
126
lusions, qui taxe le réel à sa juste valeur. J’ai
parlé
de plus d’un peuple dans mes livres, pour l’avoir vécu d’assez près e
127
alité suisse, 1946, p. 9. L’auteur n’hésite pas à
parler
d’« introversion politique » (p. 7) à propos de l’attitude de la Suis
128
x longs textes par jour : « La voix de l’Amérique
parle
aux Français », et j’avais deux équipes d’« announcers » qui les lisa
129
r-là, au Village, mon rêve est devenu vrai : nous
parlons
certes de ce qui peut nous rapprocher, l’amour-passion, les troubadou
130
s trouvons un moment pour causer. Et souvent nous
parlons
des fêtes que nous rêvons d’organiser. « Celle par exemple qui devrai
131
quelque chose dont je pense bien que personne ne
parlera
dans les centaines d’articles à paraître ces prochains jours. C’est q
132
nts », précise-t-il. Mais faute de jouer, nous en
parlons
. C’est d’ailleurs le mot de sa vie : échec de l’art, art des échecs,
133
ce que cette catégorie de l’infra-mince dont vous
parlez
dans le numéro spécial de View ? « Quand la fumée du tabac sent aussi
134
omme si j’en étais responsable. À minuit, nous en
parlions
encore. Le choc nous avait jetés dans l’élucubration, plutôt que dans
135
rurent émues. C’est le moment que je choisis pour
parler
d’homéopathie, un de mes dadas. Ma thèse est simple : Qu’est-ce que l
136
n’ai plus qu’à m’exécuter. notes de journal : «
Parlé
très vite en me disant que j’allais beaucoup les ennuyer. Surpris par
137
te organisation européenne, tandis qu’ailleurs on
parle
de « mise en commun des sources d’énergie et de matières premières (c
138
rançais très inégalement assurés de leur droit de
parler
au nom de l’avenir… Il serait intéressant d’analyser dans ce procès-v
139
me répondit que mon projet était trop long, qu’il
parlait
de fédéralisme et qu’on « ne pouvait pas me suivre jusque-là… ». En c
140
ue se passe-t-il ? « Churchill, tout près de moi,
parle
dans un micro, et la voix me revient de la salle : “The task before u
141
st mon ami Brugmans, travailliste hollandais, qui
parle
ainsi devant douze anciens présidents du Conseil, soixante ministres
142
ne décrivait pas les compétences. Churchill avait
parlé
d’un « Council of Europe », dont on ne savait pas bien s’il était plu
143
n politique (votée aussi par les fédéralistes) ne
parlait
que d’une assemblée « élue, dans leur sein ou au-dehors par les parle
144
nt une défense commune, mais les résolutions n’en
parlaient
plus. Je note que le motif de la sécurité ne joua donc aucun rôle à L
145
tre les Allemands et les Italiens. Eux, quand ils
parlent
de leur ancien chef, disent : “Le pauvre, il n’a pas réussi !” Mais n
146
auvre, il n’a pas réussi !” Mais nous, quand nous
parlons
du nôtre, nous disons : “C’était un couillon !” » bm. Rougemont Den
147
justice, la paix, la liberté — étant manières de
parler
plus ou moins nobles, ou pure et simple captatio démagogique. Mais je
148
ure, et que les « cheminements de l’esprit » dont
parlait
Robert Schuman traversent leurs frontières sans les apercevoir : dans
149
érations continentales. Et vous noterez que je ne
parle
pas de relations ou d’affaires « étrangères » : c’est un mot qu’il no
150
décrets de Paris et de Madrid, forçant les uns à
parler
français, les autres à parler espagnol. On parle provençal sur les de
151
, forçant les uns à parler français, les autres à
parler
espagnol. On parle provençal sur les deux rives du Rhône, allemand su
152
parler français, les autres à parler espagnol. On
parle
provençal sur les deux rives du Rhône, allemand sur les deux rives du