1 -ci sur une doctrine. Le mal serait entré dans la peinture , dit-elle, avec les pommes de Cézanne, pommes de pure forme, sans con

2 réalisme socialiste, qui ne se distinguent de la peinture bourgeoise d’environ 1880 que par la couleur des parements. Nous atte

3 enaissance, au xviie siècle français, on a vu la peinture , la poésie, la musique et la danse prospérer sous toutes sortes de ty

4 aujourd’hui cela est possible encore. Certes, la peinture et la littérature sont tombées au plus bas en Russie soviétique ; mai

5 dier à cette situation, qui est aussi celle de la peinture et de la poésie au xxe siècle ? Il me semble que ceux qui tiennent l

6 yers de culture locaux se généralisent ; toute la peinture mondiale peut venir sur nos murs sous forme de reproductions « à s’y

7 ons « riantes » de la Nature dans la poésie et la peinture médiévales concernent les vergers. Le reste était terreur. 41. L’En

8 uils cannés s’y perdent, et quelques chevalets de peinture . Luxe inouï de la solitude et du silence. Un rideau de pins et l’eau

9 écidé un beau jour d’abandonner définitivement la peinture , et cela, au moment de ses plus grands triomphes en Amérique. — Pas d

10 un peintre. Depuis la création d’un marché de la peinture , tout a été radicalement changé dans le domaine de l’art. Regardez co