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s les roses et la malaria. Préservons ces réduits
pervers
. Tous les siècles de notre histoire ont déploré la décadence universe
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le veut être et croit qu’elle est. Son immaturité
perverse
me fascine. Le scandaleux héros (par antiphrase) de mon roman (éduqué
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ant, ceux qui ont lu Lolita avec plus d’amusement
pervers
que d’émotion, seront en droit de douter de la légitimité d’une inter
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en nous que leur image inversée, inexplicablement
perverse
et révoltante. Le dialogue était impossible. Puis il y eut le « dégel