1
S’agit-il de compensations, ou bien l’un des deux
phénomènes
serait-il la rançon de l’autre ? Sommes-nous dans une situation globa
2
ion originelle de la personne. Prenons d’abord le
phénomène
de la révolution, si typiquement européen. Remarquez que le mot révol
3
ale, changeant tout — le Chemin de Damas — est un
phénomène
caractéristique du christianisme. De même, nous constatons que la not
4
béissance aux lois sacrées. Prenons maintenant le
phénomène
de la passion dans les rapports individuels. La passion, c’est l’amou
5
nt, et disparaissent, les nations et leurs États,
phénomènes
de nature et de durée très variables, et qui ne sont devenus mortels
6
seule passion. Ici paraît la forme religieuse du
phénomène
et de son mythe. On voit l’homme et la femme entrer dans la passion c
7
le nom de Révolution. L’idée et la réalité de ce
phénomène
, je l’ai dit, sont inconnues dans tout l’Orient, qu’il s’agisse des e
8
fanatique à ses débuts… Tout porte à rattacher le
phénomène
de la révolution à quelque qualité ou défaut spécifique de l’Occident
9
a révolution, c’est-à-dire du modèle spirituel au
phénomène
politique et social, ne semble pas aller de soi. Il paraît même doute
10
est l’exemple le plus pur20. Certes, il s’agit de
phénomènes
de même nature, et dont l’opposition ne résulte peut-être que des mét
11
qu’on a peur, mais au contraire de l’imprévu des
phénomènes
. Loin d’essayer de se libérer de ces lois, on espère bien que les sai
12
ons n’étaient pas attendus. Prise de court par un
phénomène
qui l’étonnait merveilleusement, et dont elle ne pouvait mesurer l’am
13
s la morale individuelle reste sans prises sur un
phénomène
qui évolue au niveau des mythes collectifs : le profit dépend toujour
14
morale assez puissante, désormais, pour régler le
phénomène
technique, sera donc la morale sociale, définie par les grands États.
15
é pour les questions religieuses n’aura été qu’un
phénomène
transitoire de notre civilisation occidentale. L’intelligentsia berli
16
indiscutable, c’est l’importance psychologique du
phénomène
; mais son sens historique reste conjectural : on ne sait encore ni d
17
libre de les appliquer. Quant au sens général du
phénomène
, j’ai dit qu’il est encore conjectural. On ignore, on effet, son vrai
18
ique et mondial. Au total, je ne pense pas que le
phénomène
relève d’une dialectique justifiante de l’Histoire (ainsi que le veul
19
doute que « cela s’explique » ? Mais expliquer un
phénomène
social n’est pas encore le justifier. ab. Rougemont Denis de, « S
20
éprouvions tous ait empêché toute description du
phénomène
. Ce qui vient de se produire dans la conscience européenne — et dans
21
tre prestigieux, c’est d’abord qu’on transpose le
phénomène
nation à l’échelle d’une Europe continentale qui serait moins unie qu
22
s ne mangerons pas de ce sacré‑là. D’ailleurs, le
phénomène
est à peu près unique. Ni l’Allemagne, ni l’Italie, ni la Hollande, n
23
t soudain les traits d’une tête humaine. C’est le
phénomène
inverse qui se produit à la lecture des trois romans : vous regardez
24
ne sœur réelle et vivante… Incontestablement, des
phénomènes
analogues sont fréquents. Dans plus d’une existence, la sœur imaginai
25
n doute, la nature en soi de nos mythes, qui sont
phénomènes
de l’âme. Mais elle nous aide à mieux imaginer le processus de leur a
26
ine dialectique formelle étant commune à tous les
phénomènes
qui relèvent de la vie en général, pourquoi refuser l’hypothèse que l