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ut donc définir l’Europe comme cette partie de la
planète
où l’homme, sans relâche, se remet en question, et veut changer le mo
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urelle qui survole toutes les civilisations de la
planète
ne peut se donner qu’un but très vague, mal défini et presque vide de
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dieu du feu — qui apparaît sur deux points de la
planète
au Caucase et en Chine, semble-t-il — c’est d’abord communier avec lu
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tiers de la population — fortement accrue — de la
planète
, travaillant quatre heures par semaine, pour que tous nos besoins « m
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a découverte de la Lune et la navigation vers les
planètes
, qui n’est qu’un rêve encore pour cette génération, se réalise au xxe
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eau de transports réguliers entre la Terre et les
planètes
les plus proches. La Terre sera entourée de toute une famille de sate
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as « découverts » par des êtres pensants d’autres
planètes
avant que nous les ayons visités sur leur globe, il en ira de l’avent
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esterait qu’à demander à la science de changer de
planète
. » Dernière pudeur Notre Europe, dira-t-on, dans cette immense
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culture) mettons qu’elle est égale à celle de la
planète
: littéralement tout englobante. Cependant, les raisons qu’on invoque
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)bi bj Prenons les grandes dimensions de notre
planète
en mutation. C’est l’Europe qui a tout déclenché, et son rôle reste d
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t que l’Histoire continue sur un seul point de la
planète
pour transformer cet idéal en utopie. Au surplus, les réalités ont dé
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issante ou la plus riche, mais bien ce coin de la
planète
indispensable au Monde de demain et où les hommes pourront trouver no