1 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
1 lyrisme énergique, mêlant le trivial aux clichés poétiques , les métaphores aux calembours, les élans d’éloquence aux préciosités
2 rance, non par son triomphe. Il n’y a plus de jeu poétique exaltant. Il n’y a plus que le sérieux, l’existentiel… Traduisons cel
3 appeler par analogie me paraît être l’expérience poétique . Car le poète, lui non plus, ne sait et ne saura jamais s’il ne fait
2 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
4 ourquoi de la passion d’inventer, qui est d’ordre poétique (au sens premier du terme) et qui est de l’homme en général. Mais que
3 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un patriotisme de la terre (mars 1958)
5 re nouveau avec Cyrano de Bergerac. Un genre plus poétique ou imaginatif, pataphysique ou scientifique, et généralement optimist
4 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
6 ui postule la vision, c’est-à-dire l’appréhension poétique du monde. Rien n’est plus étranger au nominalisme qui envahit la crit
7 l : ce serait une sorte de généalogie du réalisme poétique .   Telle fut ma première impression. Je la vois aujourd’hui confirmé
5 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
8 nt insurmontable, entre l’amour-passion (ou amour poétique ) qui élit un seul être bien-aimé, et l’amour du prochain (amour chrét
9 ienne, souffrant tous les tourments de la passion poétique mais pour l’Idée, aventuriers de l’esprit seul. Deux existences à peu
6 1966, Preuves, articles (1951–1968). André Breton (novembre 1966)
10 tait son idée de la poésie et de « l’intelligence poétique de l’univers ». Après tant d’années sans nous voir, Dieu sait pourquo
11 e contradiction qui a tendu l’arc d’une existence poétique si hautement exemplaire à tant d’égards, c’est qu’il voulait tout à l