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battent la coulpe de l’Europe colonialiste sur la
poitrine
des fédéralistes. « Vous nous vantez l’Europe, il n’y a pas de quoi !
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it » ouvrir d’un coup de poignard d’obsidienne la
poitrine
des jeunes gens aztèques, en arracher le cœur encore tout palpitant e
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on ? S’excuser de leurs calomnies ? Se frapper la
poitrine
? Avaler leur stylo ? Rien de tout cela, jusqu’ici. Mais deux argumen
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la minute de pellicule multipliée par le tour de
poitrine
vaut un vison. « C’est tout naturel » m’assure-t-on. Voilà qui juge u