1 1953, Preuves, articles (1951–1968). « Nous ne sommes pas des esclaves ! » (juillet 1953)
1 Les tanks soviétiques, l’Armée rouge, la police «  populaire  » ont tiré sur les ouvriers qui avaient osé se rassembler, sans armes
2 êts ; jamais au nom de la justice et des libertés populaires . J’imagine deux choses pires que la pire injustice : la première sera
2 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
3 . Pour la piété et la morale nouvelle, les poètes populaires et l’instruction publique obligatoire se chargeront d’en rédiger les
3 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
4 est noble et l’angoisse qu’on traduit, réelle et populaire . Derrière cette campagne unanime, distinguons deux espèces de motifs
4 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1956)
5 ou l’approuve, de déclarer que sa dictature est «  populaire  » ou qu’elle n’est rien qu’une dictature.) Cette phrase est capitale,
5 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur le rêve des sciences (décembre 1956)
6 la souveraineté nationale d’innocentes monarchies populaires . Mais voici que Madariaga nous met en mesure de découvrir Colomb58. L
6 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (II) (avril 1957)
7 leur présence militaire qui assure les régimes «  populaires  » : il n’y a plus de troupes russes en Tchécoslovaquie. Ce qui mainti
8 rait enfin équilibrée. Prenons les grandes masses populaires  : on n’ose dire que l’OTAN les passionne, mais l’idée d’une union dir
7 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur le crépuscule d’un régime (octobre 1957)
9 t à ceux qui viennent nous parler de « démocratie populaire  », ils font un mensonge au carré, plutôt qu’un de ces pléonasmes si f
10 s l’argot pour insister clairement. La démocratie populaire n’est en fait que la suppression de certains procédés qu’on dit démoc
8 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1957)
11 rlements si ceux-ci ne subissent pas une pression populaire imposant l’élection d’une Assemblée de l’Europe qui créerait un pouvo
9 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le vocabulaire politique des Français (novembre 1958)
12 semble de la population d’un pays, ou l’élément «  populaire  » par contraste avec les « élites » sociales, ou encore « les masses 
13 st la confusion sémantique. On appelle démocratie populaire , par un apparent pléonasme (puisque demos égale populus), tout régime
14 ns rire que le référendum français n’est pas plus populaire qu’il est démocratique. On parle de plébiscite (du latin plebs, popul
10 1961, Preuves, articles (1951–1968). Pour Berlin (septembre 1961)
15 e Berlin se ramène à ceci qu’un régime qui se dit populaire veut empêcher son peuple de le fuir. À travers Berlin, chaque jour et
16 oir ne veulent plus que la paix, et cette volonté populaire , mieux que tous les traités indispensables, garantirait l’évolution p
11 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
17 ilitante et réaliste, les clichés de l’helvétisme populaire accueilleraient le touriste à l’entrée de chaque salle : Guillaume Te
12 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
18 n pouvoir de décision politique imposé par l’élan populaire , dont on sentait alors qu’il eût été possible de le déclencher. Je vo
19 onvoquer l’Europe » au terme d’une vaste campagne populaire , afin de créer le noyau d’un futur gouvernement. Les autres organisat
20 ns, et de créer de la sorte un puissant mouvement populaire … Cela ne manquerait pas d’exercer une pression supplémentaire sur les
21 e le Congrès ne se prolonge en un vaste mouvement populaire , d’autre part les fédéralistes ne surent pas imposer leur tactique :
22 enait de tuer en germe tout espoir d’une campagne populaire élargissant son retentissement dans l’Europe entière. Suite et fin