1
lier. Personnellement, je tiens à prendre ici une
position
extrêmement claire. Il me paraît capital d’établir une distinction ne
2
t conquis au lendemain de la guerre d’importantes
positions
stratégiques dans les lettres, les arts et les sciences, le dernier c
3
iècle, et condamnés à perdre, après nos dernières
positions
dans le monde, notre indépendance politique, économique et peut-être
4
siècle, le renversement subit et complet de notre
position
dans le monde ; la montée des empires unifiés, devant nos divisions s
5
l’égalité, et celui de compenser la perte de nos
positions
économiques dans le monde, la table ronde a conclu à la nécessité « d
6
révolte de l’Europe rendue consciente de sa vraie
position
pourrait nous sauver de Genève — ce Diên Biên Phu diplomatique. Un te
7
ollégiale) qu’il juge « intéressant d’examiner la
position
de Khrouchtchev ». Et de se demander : « Khrouchtchev est-il un autre
8
istianisme. C’est pourtant le matérialisme, comme
position
métaphysique, qui devait faire éclater en Europe le conflit de la sci
9
ptent cependant à l’égard du progrès technique la
position
néo-manichéenne, obéissent en cela à deux motivations qu’il importe d
10
alinien, et Sartre l’approuvait en général (« Ses
positions
, dans l’ensemble, ont été justes »). Il approuvait donc, pour la Fran
11
Leur crise présente appelle une mise au point des
positions
de leurs adversaires aussi bien que de leurs alliés. J’essaierai de l
12
naît pas d’opposition qui n’implique une certaine
position
, on s’en tire en disant : celui qui est toujours contre, il faut bien
13
l ne nuisait pas nécessairement à la justesse des
positions
politiques : il arrêtait le savoir. » (Les Temps modernes, n° 123, p.
14
e est étonnante. Qu’est-ce que la « justesse » de
positions
politiques qui exigent des hécatombes de vies humaines, et s’accommod
15
H. Chacun d’eux se trouve devant l’autre dans la
position
qu’on nomme pat, « coup où l’un des joueurs n’ayant que son roi qu’il
16
ise ». Littré ajoute, non sans sévérité : « Cette
position
témoigne chez l’adversaire d’une si grande maladresse qu’on le regard
17
blèmes. 1. Si les États-Unis et l’URSS restent en
position
de double pat, mutuellement neutralisés comme aujourd’hui, l’Europe n
18
oui ou non, menacée dans son ensemble et dans ses
positions
mondiales par l’expansion normale des grands empires, par l’hostilité
19
ondiales n’a pas seulement compromis ou perdu nos
positions
de puissance politique ; il déprime et combat sournoisement notre vol
20
agit du régime de la France, mais renversent leur
position
quand il s’agit de l’avenir européen. Rien de plus logique, malgré le
21
ente de celle qui dicte normalement les prises de
position
et gestes politiques, mais n’ayant encore lu, lorsqu’éclata la crise,
22
ous craindre ? Quand Khrouchtchev réitère que ses
positions
idéologiques sont irréductibles, on dirait qu’il essaie de rassurer s
23
de situer la Russie au centre du monde, dans une
position
d’arbitrage décisive — et d’empêcher accessoirement qu’on voie l’Euro
24
stinguer ce qu’elles pourraient être désormais.
Position
des communistes, avant la détente. — Ils servaient un régime qui n’ad
25
e n’est pas faite par des gens qui défendent leur
position
, mais bien par ceux qui créent des positions nouvelles. Ce que les Eu
26
leur position, mais bien par ceux qui créent des
positions
nouvelles. Ce que les Européens peuvent attendre de nous, ce n’est pa
27
on non pas à celle d’un général qui conquiert une
position
, ni d’un législateur qui impose une structure, ni même d’un remède qu