1 1951, Preuves, articles (1951–1968). Neutralité et neutralisme (mai 1951)
1 lier. Personnellement, je tiens à prendre ici une position extrêmement claire. Il me paraît capital d’établir une distinction ne
2 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le dialogue Europe-Amérique (août-septembre 1952)
2 t conquis au lendemain de la guerre d’importantes positions stratégiques dans les lettres, les arts et les sciences, le dernier c
3 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
3 iècle, et condamnés à perdre, après nos dernières positions dans le monde, notre indépendance politique, économique et peut-être
4 siècle, le renversement subit et complet de notre position dans le monde ; la montée des empires unifiés, devant nos divisions s
5 l’égalité, et celui de compenser la perte de nos positions économiques dans le monde, la table ronde a conclu à la nécessité « d
4 1954, Preuves, articles (1951–1968). Tragédie de l’Europe à Genève (juin 1954)
6 révolte de l’Europe rendue consciente de sa vraie position pourrait nous sauver de Genève — ce Diên Biên Phu diplomatique. Un te
5 1954, Preuves, articles (1951–1968). Politique de la peur proclamée (novembre 1954)
7 ollégiale) qu’il juge « intéressant d’examiner la position de Khrouchtchev ». Et de se demander : « Khrouchtchev est-il un autre
6 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
8 istianisme. C’est pourtant le matérialisme, comme position métaphysique, qui devait faire éclater en Europe le conflit de la sci
7 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
9 ptent cependant à l’égard du progrès technique la position néo-manichéenne, obéissent en cela à deux motivations qu’il importe d
8 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
10 alinien, et Sartre l’approuvait en général (« Ses positions , dans l’ensemble, ont été justes »). Il approuvait donc, pour la Fran
11 Leur crise présente appelle une mise au point des positions de leurs adversaires aussi bien que de leurs alliés. J’essaierai de l
12 naît pas d’opposition qui n’implique une certaine position , on s’en tire en disant : celui qui est toujours contre, il faut bien
13 l ne nuisait pas nécessairement à la justesse des positions politiques : il arrêtait le savoir. » (Les Temps modernes, n° 123, p.
14 e est étonnante. Qu’est-ce que la « justesse » de positions politiques qui exigent des hécatombes de vies humaines, et s’accommod
9 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (mars 1957)
15 H. Chacun d’eux se trouve devant l’autre dans la position qu’on nomme pat, « coup où l’un des joueurs n’ayant que son roi qu’il
16 ise ». Littré ajoute, non sans sévérité : « Cette position témoigne chez l’adversaire d’une si grande maladresse qu’on le regard
10 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (fin) (mai 1957)
17 blèmes. 1. Si les États-Unis et l’URSS restent en position de double pat, mutuellement neutralisés comme aujourd’hui, l’Europe n
11 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1957)
18 oui ou non, menacée dans son ensemble et dans ses positions mondiales par l’expansion normale des grands empires, par l’hostilité
12 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la prétendue décadence de l’Occident (avril 1958)
19 ondiales n’a pas seulement compromis ou perdu nos positions de puissance politique ; il déprime et combat sournoisement notre vol
13 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (II) (septembre 1958)
20 agit du régime de la France, mais renversent leur position quand il s’agit de l’avenir européen. Rien de plus logique, malgré le
14 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
21 ente de celle qui dicte normalement les prises de position et gestes politiques, mais n’ayant encore lu, lorsqu’éclata la crise,
15 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur un chassé-croisé d’idéaux et de faits (novembre 1959)
22 ous craindre ? Quand Khrouchtchev réitère que ses positions idéologiques sont irréductibles, on dirait qu’il essaie de rassurer s
23 de situer la Russie au centre du monde, dans une position d’arbitrage décisive — et d’empêcher accessoirement qu’on voie l’Euro
16 1960, Preuves, articles (1951–1968). Sur la détente et les intellectuels (mars 1960)
24 stinguer ce qu’elles pourraient être désormais.   Position des communistes, avant la détente. — Ils servaient un régime qui n’ad
17 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
25 e n’est pas faite par des gens qui défendent leur position , mais bien par ceux qui créent des positions nouvelles. Ce que les Eu
26 leur position, mais bien par ceux qui créent des positions nouvelles. Ce que les Européens peuvent attendre de nous, ce n’est pa
18 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
27 on non pas à celle d’un général qui conquiert une position , ni d’un législateur qui impose une structure, ni même d’un remède qu