1 ur lutte contre ses propres souhaits, ses propres prévisions . C’est un trait particulier du savant que de tenir pour suspecte tout

2 et de leur en ajouter d’artificiels. Ce manque de prévision , ce faux départ, ont été lourdement payés — et le sont encore — par l

3 e électronique, j’ai dû simplifier à l’extrême la prévision de ces quelques coups élémentaires, et l’on voit que mes premiers rés

4 , par l’Europe dans le Monde d’aujourd’hui. Cette prévision est la plus optimiste. On me dira qu’elle se fonde sur du wishful thi

5 i n’est pas l’Homme. Utopies, science-fiction, prévisions de savants La faiblesse générale des utopies, c’est qu’elles sont

6 s ». Mais déjà nous ne sommes plus en Utopie : la prévision se veut scientifique, comme elle le sera chez un Jules Verne, si la p

7 es raisons subjectives, motifs encore secrets, et prévisions tactiques de l’un et de l’autre restant affaire de conjectures, les c

8 Suisse, mais aussi l’imagination et la faculté de prévision de ceux qui faisaient notre opinion. L’union de l’Europe s’avérait be