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sévit » : tonnerre d’applaudissements et toute la
presse
pour vous. J’ai vu cela ce printemps à Bombay, et ne m’en suis pas tr
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ouvrière. Cette phrase qu’on n’a pas lue dans la
presse
communiste, nos enfants la liront dans leurs livres d’histoire. Cette
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ains pour les besoins d’une polémique, non par la
presse
d’un seul pays, d’un seul parti, non par erreur ou exagération, ni pa
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dre pour cela l’instruction publique et la grande
presse
. Mais prenez, de nos jours, une petite invention comme celle de la té
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nde des nations libres est proclamée par toute la
presse
. Et le second jour atteste l’un des renversements les plus stupéfiant
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Berlin ? — Rien, pas un « fait » visible pour la
presse
, pas une crise et pas une bataille modifiant le rapport des forces ;
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e après Tolstoï, et toutes les revues et toute la
presse
du monde entier l’ont amplifié, grâce aux machines dont elles dispose
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aient-ils éclipsés ? De qui se moque-t-on ? De la
presse
occidentale, qui a donné dans le panneau, comme toujours ? Mais l’heu
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En effet, regretter, comme le font nos PC, que la
presse
bourgeoise ait seule publié le Rapport, c’est dire, en d’autres terme
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e de dirigisme. Puis on a tué la CED, et toute la
presse
a récité que l’idée européenne était bien morte. Voilà qui ne changea
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tes.) Les nouvelles fantastiques répandues par la
presse
au sujet du lancement, l’an dernier, de six satellites par les Russes
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en tant qu’imagination du lointain. » En 1955, la
presse
mondiale annonça qu’un ingénieur américain croyait avoir trouvé le mo
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, et peu n’ont pas pleuré. Il est frappant que la
presse
n’ait guère parlé, ce matin, que des incidents qui ont suivi (chahuts
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istoire. Mardi 21 novembre 1956 Coupures de
presse
et nouvelles lettres. Plusieurs me disent : Et Suez ? Et les Malgache
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ie par les cris d’indignation qui s’élèvent de la
presse
communiste, au seul énoncé du projet. Il serait plus habile de feindr
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ssentiment, des plus fréquentes en France dans la
presse
et les revues. L’homme de la rue ne l’emploie jamais, et cela pour la
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r exploitation par les factions, les campagnes de
presse
, les accès de répression, les examens de conscience de part et d’autr
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timentaux inculqués par l’École, confirmés par la
Presse
et cultivés par les intellectuels. L’Europe que nous aimons n’est-ell
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i, mais l’œuvre est de longue haleine et le temps
presse
. Rien ne se fera sans l’esprit, mais sera-t-il assez prompt dans son
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lancement. Il eût fallu multiplier, dans toute la
presse
occidentale, depuis un an, des articles obéissant au plan suivant : a
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ontre leurs illusions. Au lieu de quoi, la grande
presse
et la radio des pays libres mais irresponsables ont tout fait pour no
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par ailleurs condamné. Le Kremlin payerait notre
presse
qu’elle n’écrirait pas autrement. Mais il sait bien qu’il peut lui fa
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st enterré sans oraison (25 décembre 1956). Notre
presse
ayant épuisé sa provision de grosses lettres n’en dit rien. Dans le m
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infini de ce-qui-se-passe ou non par le monde, la
presse
choisit pendant la nuit un très petit nombre de thèmes, les manipule,
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qu’il croit devoir dire à tel moment pour que la
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et la radio en tirent telle conclusion probable et opportune, qui peu
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’on nomme l’opinion, c’est-à-dire pratiquement la
presse
et la radio, à quoi tout se réduit au bout du compte. Car c’est bien
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nous croyons chaque matin n’est faite que par la
presse
et la radio, et n’est souvent faite que pour elles. Les agences serai
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’étant pas nommée ni impliquée. Sensation dans la
presse
, mais aucune suite concrète. Une année plus tard, à Montreux, les féd
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ration de l’Europe. Rien, ou presque rien dans la
presse
. Ainsi, Montreux ne devint pas un « fait ». En mai 1948 s’ouvre à La
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dit à New York. Mais l’écho reste faible dans la
presse
. Car les agences ont décidé, ce jour-là, de donner les manchettes à S
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e sa place, qui pour une fois n’est pas volée. La
presse
américaine réplique sans hésiter : elle « construit » à l’avance un a
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emousse est moins celui des USA que celui de leur
presse
excitée. (Quand les Russes ratent, on n’en sait rien, pas fous.) Mais
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e masochisme occidental. — Je ne soupçonne pas la
presse
occidentale de suivre une politique quelconque, loin de là ! Elle n’a
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ctuellement, et qui pourrait demain, imposer à la
presse
une méthode scientifique de choix et de présentation, qui permettrait
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t précisément notre plus sûr recours. Réformer la
presse
d’information me paraît impossible ou dangereux. En revanche, dévelop
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r la résistance critique des esprits exposés à la
presse
n’est pas seulement possible mais indispensable. Je demande qu’on ins
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que les modes littéraires qui occupent tant notre
presse
. Les auteurs et les peintres que l’on cite à l’appui de la « désintég
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pour l’œil distrait ou fatigué des lecteurs de la
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du soir. Cependant, d’excellents esprits s’enflamment. Coudenhove-Kal
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nnu d’entre eux, si l’on songe à ce dont parle la
presse
dans ses rubriques dites « littéraires ». Première approche de l’œu
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uffisamment à cette question. Mais on insiste, la
presse
insiste, et les interviewers insistent : tous veulent absolument que
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ain d’action aux profiteurs de tout poil, et à la
presse
la source inépuisable d’alléchantes manchettes ». Il fait oublier les
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e ainsi posée en termes de personnes par toute la
presse
, et par cette opinion publique qui n’est rien d’autre que ce qu’en di
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blique qui n’est rien d’autre que ce qu’en dit la
presse
sans tenir compte des sondages d’opinion et du suffrage universel. Ab
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0, il faut reconnaître que nos autorités et notre
presse
ont été dans l’ensemble pour le moins réservées, et que notre peuple
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trée à l’OECE fut accueillie avec méfiance par la
presse
moyenne de la Suisse allemande : elle relevait en effet des Affaires
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sur l’idée européenne paraît tourner, dans notre
presse
, autour de la défense des intérêts particuliers de la Suisse. Je diff
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tés », qui dispose des moyens financiers et de la
presse
, c’est risquer de courir à l’écrasement rapide, ou de « devenir une s
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u même coup leur meilleure chance d’intéresser la
presse
, ou bien cédaient aux exigences toujours plus radicales des fédéralis
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e rapport politique et économique étant déjà sous
presse
. On était à dix jours du Congrès. À Londres, le 26 avril, dans une pe
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urs d’un dîner à Londres que mon texte était sous
presse
, non le sien, avait pleuré. Nous étions tous assez nerveux, en cette