1 1951, Preuves, articles (1951–1968). Culture et famine (novembre 1951)
1 sévit » : tonnerre d’applaudissements et toute la presse pour vous. J’ai vu cela ce printemps à Bombay, et ne m’en suis pas tr
2 1953, Preuves, articles (1951–1968). « Nous ne sommes pas des esclaves ! » (juillet 1953)
2 ouvrière. Cette phrase qu’on n’a pas lue dans la presse communiste, nos enfants la liront dans leurs livres d’histoire. Cette
3 ains pour les besoins d’une polémique, non par la presse d’un seul pays, d’un seul parti, non par erreur ou exagération, ni pa
3 1953, Preuves, articles (1951–1968). Les raisons d’être du Congrès (septembre 1953)
4 dre pour cela l’instruction publique et la grande presse . Mais prenez, de nos jours, une petite invention comme celle de la té
4 1954, Preuves, articles (1951–1968). Tragédie de l’Europe à Genève (juin 1954)
5 nde des nations libres est proclamée par toute la presse . Et le second jour atteste l’un des renversements les plus stupéfiant
6 Berlin ? — Rien, pas un « fait » visible pour la presse , pas une crise et pas une bataille modifiant le rapport des forces ;
5 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
7 e après Tolstoï, et toutes les revues et toute la presse du monde entier l’ont amplifié, grâce aux machines dont elles dispose
6 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
8 aient-ils éclipsés ? De qui se moque-t-on ? De la presse occidentale, qui a donné dans le panneau, comme toujours ? Mais l’heu
9 En effet, regretter, comme le font nos PC, que la presse bourgeoise ait seule publié le Rapport, c’est dire, en d’autres terme
7 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1956)
10 e de dirigisme. Puis on a tué la CED, et toute la presse a récité que l’idée européenne était bien morte. Voilà qui ne changea
8 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur le rêve des sciences (décembre 1956)
11 tes.) Les nouvelles fantastiques répandues par la presse au sujet du lancement, l’an dernier, de six satellites par les Russes
12 en tant qu’imagination du lointain. » En 1955, la presse mondiale annonça qu’un ingénieur américain croyait avoir trouvé le mo
9 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la honte et l’espoir de l’Europe (janvier 1957)
13 , et peu n’ont pas pleuré. Il est frappant que la presse n’ait guère parlé, ce matin, que des incidents qui ont suivi (chahuts
14 istoire. Mardi 21 novembre 1956 Coupures de presse et nouvelles lettres. Plusieurs me disent : Et Suez ? Et les Malgache
10 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur deux écrivains politiques (juin 1957)
15 ie par les cris d’indignation qui s’élèvent de la presse communiste, au seul énoncé du projet. Il serait plus habile de feindr
11 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur le pouvoir des intellectuels (juillet 1957)
16 ssentiment, des plus fréquentes en France dans la presse et les revues. L’homme de la rue ne l’emploie jamais, et cela pour la
12 1957, Preuves, articles (1951–1968). L’échéance de septembre (septembre 1957)
17 r exploitation par les factions, les campagnes de presse , les accès de répression, les examens de conscience de part et d’autr
13 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1957)
18 timentaux inculqués par l’École, confirmés par la Presse et cultivés par les intellectuels. L’Europe que nous aimons n’est-ell
19 i, mais l’œuvre est de longue haleine et le temps presse . Rien ne se fera sans l’esprit, mais sera-t-il assez prompt dans son
14 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la pluralité des satellites (II) (décembre 1957)
20 lancement. Il eût fallu multiplier, dans toute la presse occidentale, depuis un an, des articles obéissant au plan suivant : a
21 ontre leurs illusions. Au lieu de quoi, la grande presse et la radio des pays libres mais irresponsables ont tout fait pour no
22 par ailleurs condamné. Le Kremlin payerait notre presse qu’elle n’écrirait pas autrement. Mais il sait bien qu’il peut lui fa
23 st enterré sans oraison (25 décembre 1956). Notre presse ayant épuisé sa provision de grosses lettres n’en dit rien. Dans le m
15 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la fabrication des nouvelles et des faits (février 1958)
24 infini de ce-qui-se-passe ou non par le monde, la presse choisit pendant la nuit un très petit nombre de thèmes, les manipule,
25 qu’il croit devoir dire à tel moment pour que la presse et la radio en tirent telle conclusion probable et opportune, qui peu
26 ’on nomme l’opinion, c’est-à-dire pratiquement la presse et la radio, à quoi tout se réduit au bout du compte. Car c’est bien
27 nous croyons chaque matin n’est faite que par la presse et la radio, et n’est souvent faite que pour elles. Les agences serai
28 ’étant pas nommée ni impliquée. Sensation dans la presse , mais aucune suite concrète. Une année plus tard, à Montreux, les féd
29 ration de l’Europe. Rien, ou presque rien dans la presse . Ainsi, Montreux ne devint pas un « fait ». En mai 1948 s’ouvre à La
30 dit à New York. Mais l’écho reste faible dans la presse . Car les agences ont décidé, ce jour-là, de donner les manchettes à S
31 e sa place, qui pour une fois n’est pas volée. La presse américaine réplique sans hésiter : elle « construit » à l’avance un a
32 emousse est moins celui des USA que celui de leur presse excitée. (Quand les Russes ratent, on n’en sait rien, pas fous.) Mais
33 e masochisme occidental. — Je ne soupçonne pas la presse occidentale de suivre une politique quelconque, loin de là ! Elle n’a
34 ctuellement, et qui pourrait demain, imposer à la presse une méthode scientifique de choix et de présentation, qui permettrait
35 t précisément notre plus sûr recours. Réformer la presse d’information me paraît impossible ou dangereux. En revanche, dévelop
36 r la résistance critique des esprits exposés à la presse n’est pas seulement possible mais indispensable. Je demande qu’on ins
16 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la prétendue décadence de l’Occident (avril 1958)
37 que les modes littéraires qui occupent tant notre presse . Les auteurs et les peintres que l’on cite à l’appui de la « désintég
17 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un centre qui doit être partout (mai 1958)
38 pour l’œil distrait ou fatigué des lecteurs de la presse du soir. Cependant, d’excellents esprits s’enflamment. Coudenhove-Kal
18 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
39 nnu d’entre eux, si l’on songe à ce dont parle la presse dans ses rubriques dites « littéraires ». Première approche de l’œu
19 1960, Preuves, articles (1951–1968). Les incidences du progrès sur les libertés (août 1960)
40 uffisamment à cette question. Mais on insiste, la presse insiste, et les interviewers insistent : tous veulent absolument que
20 1963, Preuves, articles (1951–1968). Le mur de Berlin vu par Esprit (février 1963)
41 ain d’action aux profiteurs de tout poil, et à la presse la source inépuisable d’alléchantes manchettes ». Il fait oublier les
21 1963, Preuves, articles (1951–1968). Une journée des dupes et un nouveau départ (mars 1963)
42 e ainsi posée en termes de personnes par toute la presse , et par cette opinion publique qui n’est rien d’autre que ce qu’en di
43 blique qui n’est rien d’autre que ce qu’en dit la presse sans tenir compte des sondages d’opinion et du suffrage universel. Ab
22 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
44 0, il faut reconnaître que nos autorités et notre presse ont été dans l’ensemble pour le moins réservées, et que notre peuple
45 trée à l’OECE fut accueillie avec méfiance par la presse moyenne de la Suisse allemande : elle relevait en effet des Affaires
46 sur l’idée européenne paraît tourner, dans notre presse , autour de la défense des intérêts particuliers de la Suisse. Je diff
23 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
47 tés », qui dispose des moyens financiers et de la presse , c’est risquer de courir à l’écrasement rapide, ou de « devenir une s
48 u même coup leur meilleure chance d’intéresser la presse , ou bien cédaient aux exigences toujours plus radicales des fédéralis
49 e rapport politique et économique étant déjà sous presse . On était à dix jours du Congrès. À Londres, le 26 avril, dans une pe
50 urs d’un dîner à Londres que mon texte était sous presse , non le sien, avait pleuré. Nous étions tous assez nerveux, en cette