1 itions, de ses risques. Je crois à la vertu de la prise de conscience  : c’est d’une part le début de la guérison, quand le mal est d’ordre

2 e de cette erreur. Si la culture est tout d’abord prise de conscience de l’homme en tant que créateur, elle est moyen de libération dans to

3 problèmes. Le premier me paraît être celui de la prise de conscience d’une époque non par ses héritiers, mais par ceux qui la vivent. On n

4 réunion solennelle au Capitole. » I. Pour une prise de conscience européenne L’une des œuvres les plus célèbres de Gauguin s’intitul

5 à la seule condition de les mettre en commun. Une prise de conscience . Un réveil. Telle paraît donc la condition première de toute action c

6 on les cas, soit une confusion générale, soit une prise de conscience , subite et dramatique. Sur la confusion générale, n’insistons pas. Ma

7 r la confusion générale, n’insistons pas. Mais la prise de conscience peut et devrait surgir du seul contraste entre deux conférences, cell

8 issance incontrôlable. Mais le seul fait de cette prise de conscience fixe enfin l’un des objectifs proprement humains de la technique. Ce

9 prestiges. La lente et fascinante histoire de la prise de conscience , puis du choix de cet amour, par deux êtres en tous points normaux, s

10 e qui pourrait aussi bien être la leur, exige une prise de conscience objective de leur véritable nature, et des fins vers lesquelles nous