1
nt ils disent qu’elles les délivreraient de leurs
problèmes
individuels : ainsi la guerre, les dictatures, les troupes de choc mi
2
s arts. L’Œuvre du xxe siècle pose bien d’autres
problèmes
. Le premier me paraît être celui de la prise de conscience d’une époq
3
assicisme vif, d’une commune mesure élargie ? Ces
problèmes
et bien d’autres se trouvent posés, par le seul fait de leurs illustr
4
es millions). L’Oriental ne peut donc se poser le
problème
d’un sens personnel de sa vie, divergeant de la voie tracée pour sa c
5
architecte aztèque, ou le grand sorcier nègre, le
problème
est non pas de différer, mais au contraire d’appliquer les recettes,
6
valu un certain confort matériel, mais aussi les
problèmes
sociaux. Nous traversons l’Atlantique en huit heures, mais ainsi font
7
urs ambitions, et nous avons philosophé sur leurs
problèmes
avec autant de passion, souvent, que sur les nôtres. Voici le trait q
8
sme perd son urgence dans le domaine culturel, un
problème
d’un autre ordre apparaît, qui se pose lui aussi à l’ensemble de la v
9
semble de la vie de l’esprit en Europe : c’est le
problème
de l’influence américaine. Lors de la séance de clôture de « L’Œuvre
10
r ses diversités enracinées. Il n’y aurait pas de
problème
ou plutôt pas de malaise, ou en tout cas, le problème des rapports en
11
lème ou plutôt pas de malaise, ou en tout cas, le
problème
des rapports entre ces deux cultures en filiation n’aurait rien d’irr
12
eux individus, pour qui la vie en soi est déjà un
problème
, reçoivent en outre une mission redoutable et qui les condamnera, bie
13
une espèce de mal nécessaire, un de ces irritants
problèmes
périphériques qui viennent encore s’ajouter aux problèmes harassants
14
s périphériques qui viennent encore s’ajouter aux
problèmes
harassants de la lutte des partis, de l’économie, de la défense, et d
15
elle dans l’histoire de l’humanité. Elle pose des
problèmes
difficiles, devant lesquels je souhaite que votre conférence ne recul
16
conférence ne recule pas. Je citerai deux de ces
problèmes
, qui d’ailleurs concernent moins l’essence même de la science que ses
17
a vraie mission libératrice ? Ensuite, je vois le
problème
des applications de la science. Lorsque Einstein écrivit la célèbre é
18
uropéens distingués à instituer un débat sur « le
problème
spirituel et culturel de l’Europe considérée dans son unité historiqu
19
erait invitée à traiter un aspect différent de ce
problème
. En même temps, quinze publicistes, un par pays membre, devraient pre
20
tuelles qui les composent. Mis aux prises avec un
problème
, l’esprit latin exige quelques définitions, l’esprit germanique une m
21
avais donc suggéré aux rapporteurs d’envisager le
problème
européen dans une perspective telle que les graves divisions national
22
ciations gouvernementales, exposa sans passion le
problème
brûlant des relations entre la souveraineté nationale (ou ce qu’il en
23
es autres. Elles tournent toutes autour d’un même
problème
, celui de l’attitude d’esprit nécessaire pour penser l’Europe. Voi
24
eule manière de la penser, en vue de résoudre ses
problèmes
, est la manière fédéraliste. Tant que l’on persistera à concevoir l’u
25
alisées, ou au contraire de la coalition, le faux
problème
des souverainetés aigrira ou bloquera les débats. L’éducation fédéral
26
r la puissance de deux volontés affrontées sur le
problème
européen. Pour savoir qui a gagné, il suffit de se demander lequel de
27
dochine, la Corée ne vous regardent plus. Mais le
problème
allemand nous intéresse beaucoup. » Que s’est-il donc passé depuis Be
28
cœur de l’Europe les délégués de l’Asie et leurs
problèmes
, et nous impose ainsi, sans coup férir, un angle de vision choisi par
29
locales d’Extrême-Orient, afin de la détourner du
problème
préalable, dont Molotov paraît savoir mieux que nous qu’il est l’unio
30
? Il me semble que ceux qui tiennent la clé de ce
problème
vital pour la culture sont bien moins les compositeurs que ceux qui f
31
e deux esprits, si différents soient-ils, sur les
problèmes
fondamentaux mis en question. Je le voyais écrire sans cesse, résuman
32
issait pas de politique dans tout cela, mais du «
problème
spirituel et culturel de l’Europe ». De Gasperi savait que le réalism
33
un homme, austère et bon. L’art de simplifier les
problèmes
était le gage de son autorité, un certain humour très direct, celui d
34
a affirmé énergiquement qu’il n’y avait aucun des
problèmes
opposant la Russie au reste du monde qui ne puisse être résolu par vo
35
e Russes à émigrer vers la Sibérie. Cependant, le
problème
de l’intervention des hommes dans ce processus évolutif se pose encor
36
du Christ, vrai Dieu et vrai homme à la fois. Le
problème
était le suivant : comment nommer les relations intradivines et les r
37
oduire une discussion des aspects dialectiques du
problème
. La doctrine de l’Incarnation, précisée à l’extrême par les Pères gre
38
sée par tensions. — Le dogme du Dieu-homme fut le
problème
crucial de la spéculation des Pères et de leurs conciles. Il fut auss
39
e par la reconnaissance de ses incompatibles : le
problème
onde et corpuscule en est l’exemple le plus pur20. Certes, il s’agit
40
es méthodes d’analyse employées. Mais la forme du
problème
est typique ; elle évoque une analogie dont les savants, sans doute,
41
là pour la confiance. Et quant à l’exigence : Ce
problème
de la théodicée, de la justification de Dieu… provoque alors un effor
42
litaires, qui n’entrent en jeu qu’après coup ? Le
problème
revient à savoir comment et pourquoi la technique a pris un brusque e
43
’homme de sa liberté, voulue par Dieu. Le vrai
problème
La grande plainte du xxe siècle contre la technique eût été justi
44
ouvriers, réalité prochaine, sera la solution du
problème
de « l’ouvrier esclave de la machine ». Mais les faux problèmes éca
45
’ouvrier esclave de la machine ». Mais les faux
problèmes
écartés — et la classe ouvrière libérée, non par les communistes mais
46
munistes mais bien par la technique — deux grands
problèmes
des plus réels vont se poser à l’humanité de l’Occident. Un danger :
47
ême où les loisirs et leur contenu deviendront le
problème
vital et passionnant. Alors le « sérieux » changera de camp. Celui do
48
nique ? Il s’agit cette fois-ci de mieux voir les
problèmes
au lieu de les refouler parce qu’ils donnent le vertige. Nous sommes
49
e soit, par ailleurs, son athéisme. Le retour aux
problèmes
religieux dans la littérature occidentale s’est amorcé dès 1919, et n
50
la morale, mais K. et ses amis ont bien d’autres
problèmes
. Au lendemain de la mort de Staline, que pouvaient-ils donc faire, si
51
r, mais de savoir comment obéir ! Logiquement, le
problème
est insoluble. Soit qu’on accepte l’ordre ou qu’on le refuse, on ne p
52
re le visage en rouge. Cela dure des années, sans
problèmes
: on se borne à liquider ceux qui refusent de se peindre. Mais voici
53
nt dire la vérité dans le monde communiste ? — Le
problème
est nettement posé par le rapport K. et ses suites. Jusqu’à la veille
54
K., hier encore, la proclamait vitale. Insoluble
problème
, et les risques sont graves. Car ou bien tout se défait ; ou les « cr
55
il n’y trouvera plus de rideau de fer ni plus de
problème
du communisme. Quelques Blancs, je l’espère, et beaucoup de Jaunes, l
56
aujourd’hui, laissez-moi réfléchir un peu… Nos
problèmes
d’aujourd’hui, de classes Ceci tout de même, au lieu d’une conclus
57
ut de même, au lieu d’une conclusion : les grands
problèmes
de demain ne seront plus politiques, mais consisteront à faire face a
58
nventent de nouvelles sources d’énergie. Le vrai
problème
nouveau sera de répondre au défi de nos grands rêves réalisés, — au d
59
par les partis, enfin la Compagnie par le PC. Le
problème
est de savoir si la vraie tolérance permet que l’on tolère le Parti.
60
elle de la Ligue, désola ce pays. » Voici sur le
problème
des tournants à prendre au bon moment : « Il n’y a pas longtemps que
61
hecs à trois rois. C’est à quoi nous contraint le
problème
d’une neutralité de l’Europe. 61. Cité par Henri Miéville, dans un
62
sans les Six, l’union ne se fera pas. Le vrai
problème
Si l’on revient au sérieux de la chose, on s’aperçoit que la seule
63
S et les USA additionnés.) Nous voici ramenés aux
problèmes
d’une partie d’échecs à trois rois. Il s’agit maintenant d’en prévoir
64
’amateur d’échecs n’en attache aux figures de ses
problèmes
. 1. Si les États-Unis et l’URSS restent en position de double pat, mu
65
re revue, je lis ceci : « L’Europe unie, c’est un
problème
qui intéresse avant tout les intellectuels, et laisse les masses indi
66
que l’union de l’Europe est une chimère, un faux
problème
. Quel problème ne serait faux, à ce compte ? Attribuer celui-ci aux s
67
l’Europe est une chimère, un faux problème. Quel
problème
ne serait faux, à ce compte ? Attribuer celui-ci aux seuls intellectu
68
ouve qu’elles ignorent pathétiquement leurs vrais
problèmes
. Mais je ne vois pas un seul mouvement né de la masse qui ait réussi
69
n’ont certainement pas contribué à la solution du
problème
, n’ont pas mordu sur la réalité. Mais nos démocraties étant ce qu’ell
70
ques françaises, mais qui ne touchent pas le vrai
problème
. Ni les colonialistes attardés ni les anticolonialistes de toutes ten
71
endicateurs) n’ont vraiment abordé, jusqu’ici, ce
problème
. Il dépasse leurs catégories. Il dépasse également la France. Ce n’e
72
s de plus dans l’histoire, est aux prises avec un
problème
intéressant l’humanité entière, et qu’elle ne peut résoudre seule, ma
73
t pas bien régulière. Voyez-vous, c’est l’immense
Problème
des Loisirs qui défile devant nous sur cette place. L’éducation des m
74
depuis peu contre elle ? Y a-t-il, oui ou non, un
problème
de l’Europe, posé par le grand jeu des forces mondiales et que nos di
75
ivisions nous empêchent de résoudre ? 2° S’il y a
problème
, et si vous refusez les mesures concrètes que les « Européistes » son
76
t les fédéralistes. Et chacun se renfrogne, et le
problème
subsiste, mais tous ont leur raison de refuser leur concours, comme s
77
Grâce aux institutions qu’elle a fait naître, le
problème
qu’elle voulait résoudre est dépassé. Le charbon et l’acier étant mis
78
on attendait la Lune, on en est encore loin. Les
problèmes
de la Terre restent au premier plan. Au surplus, l’Amérique eût été a
79
vins déranger Marcel Duchamp, tout absorbé par un
problème
d’échecs, pour lui annoncer la bombe d’Hiroshima, il me dit tranquill
80
rs ou sans scrupules, dès qu’il s’agit de quelque
problème
brûlant que leur journal veut qu’ils tranchent sur l’heure, quand leu
81
colonialisme avait laissés intacts. Voilà bien le
problème
du siècle planétaire. Il est plus immédiat et mieux déterminé que les
82
s fatalités imaginaires. Mais avant d’attaquer ce
problème
, pour se qualifier à le faire, voici l’épreuve élémentaire qu’on fera
83
de l’âme. Illustrons ces deux attitudes devant le
problème
particulier du choix d’un Centre. Sens. Le Dictionnaire abrégé de la
84
Mais supposons maintenant cet État constitué. Le
problème
d’un district européen se repose en termes concrets. On revient à l’i
85
particulièrement en France : fédéralisme. Quatre
problèmes
urgents devraient trouver dans la nouvelle Constitution la formule de
86
nts qu’ils soient en apparence, les quatre grands
problèmes
ont en commun ceci : qu’ils ne pourraient trouver de solutions tout à
87
r que la seule solution qui soit commune aux deux
problèmes
, celui de l’Algérie et celui de l’Europe, n’est autre que la solution
88
eur. Elle observe que les nations obsédées par le
problème
de leur unité collaborent mal avec les autres : qu’une nation-bloc, r
89
, qui ne trouvait pas dans les réalités autant de
problèmes
à résoudre (après étude) mais autant de prétextes à « réaffirmer son
90
’Europe. — Nous sommes arrêtés, me dit-il, par le
problème
de la stabilité de l’exécutif. — Prenez le Conseil fédéral suisse, lu
91
oté non, aux deux extrêmes, approuvent encore.
Problème
particulier d’une monarchie française. — Personne ne peut douter que
92
Pères distants, orgueilleux et frivoles. Le grand
problème
qui se pose au général de Gaulle n’est-il pas celui d’instaurer dans
93
on des relations humaines, des rôles sociaux, des
problèmes
de l’amour et des buts de la vie confèrent aux deux-mille pages de so
94
encore « partenaires sexuels » et l’on baptise «
problème
sexuel » l’ennui qu’il s’agit de bannir de leurs rapports par toute e
95
cher que la France et l’Allemagne reposent leur «
problème
éternel » dans les termes où vous le faites encore. Ce premier object
96
e. Ce premier objectif est atteint. Un tout autre
problème
a surgi : celui du rôle et de la fonction de l’Europe dans le monde d
97
uer leur continent, et l’hypocrisie d’évaluer ses
problèmes
. Vous me direz que vous ne pensiez qu’à l’unification des deux Allema
98
France, mais du point de vue des valeurs vitales (
problème
que notre xviie siècle se devait de ne pas poser). L’homme antique p
99
ute que Rudolf Kassner se garde bien de poser les
problèmes
dans nos catégories psychologiques. Il prend tout par des biais qui n
100
c’est à l’inverse du bouddhisme, en apparence, le
problème
chrétien du Dieu-Homme, d’où naît celui de la personne, générateur de
101
t celui de la personne, générateur de l’Occident.
Problème
ambigu s’il en fut, et qui échappe par définition à la pensée systéma
102
là qui est zen, conclut Kassner, ou solution d’un
problème
zen par le poète, par la langue, la langue vivante des images, non de
103
s bambou toi-même, puis, oublie tout et peins. » (
Problème
de la limite entre existence et art, ou de l’art comme existence.) D’
104
nfusion, volontairement ou non, en confondant les
problèmes
de la lutte idéologique avec la question des relations entre États. »
105
qui a atteint ses buts et qui n’a plus de grands
problèmes
à résoudre. La force du régime soviétique… c’est qu’il constitue avan
106
s cette chronique, est d’essayer de comprendre un
problème
très confus dont je ne suis même pas sûr qu’il y ait lieu de le poser
107
a conscience des rapports entre les hommes ». Les
problèmes
sont posés désormais, « en des termes qui dépassent tous les conflits
108
t : tout est changé, tout doit changer, les vieux
problèmes
sont dépassés. Mais je ne vois encore qu’une vaste confusion. Admetto
109
dialoguer et réfléchir ensemble sur les immenses
problèmes
que pose, à cette génération, le progrès dans la liberté. Car il est
110
progrès dans la liberté. Car il est clair que ce
problème
numéro 1 de notre siècle déborde toute capacité individuelle et qu’il
111
xions entre intellectuels du monde entier sur les
problèmes
que pose le même progrès technique, éducatif et culturel, dans les co
112
comme maître et sauveur », 1844. 105. Étapes, «
Problèmes
du mariage ». 106. Étapes, « Coupable ? non coupable ? » 107. Chap
113
e autre. La filiation des mythes ne pose guère de
problèmes
. La légende de Tristan date du xiie siècle, celle de Don Juan ne rem
114
la durée et de l’éternité. Celui qui a résolu ce
problème
dans sa vie est seul en mesure de condamner Don Juan et Tristan à la
115
olitiques et met en jeu les droits de l’homme. Le
problème
de Berlin se ramène à ceci qu’un régime qui se dit populaire veut emp
116
ls le veulent, et comme ils veulent, qu’il y a un
problème
de Berlin et que la paix est ébranlée. Nous demandons à M. Khrouchtch
117
ir l’autonomie de chacun de ses membres, c’est un
problème
parfaitement homologue à celui que la Suisse a résolu, avec ses vingt
118
n européen. Voici l’impasse digne des éléates, le
problème
insoluble en bonne logique : comment faire valoir les succès d’une mo
119
our effets inévitables : — de poser clairement le
problème
du régime politique de l’Europe de demain, jamais encore abordé de fr
120
jeu d’échecs. Celui dont Duchamp se sert pour ses
problèmes
est trop petit pour jouer à deux : c’est un « jeu de voyage » de sa c
121
l’empêche pas, d’ailleurs, de lire des livres de
problèmes
et de les jouer « quatre heures par jour, environ ». C’est à quoi je
122
, faute d’échecs, nous essayons de créer quelques
problèmes
avec des Chinese Checkers trouvés dans la bibliothèque, et cela nous
123
» Enfin Duchamp voulut bien s’interrompre dans un
problème
d’échecs, pour remarquer que la bombe confirmait son point de vue : l
124
’atmosphère de l’époque, les espoirs, déboires et
problèmes
des responsables de quelques-uns de ces congrès. Personne, sauf Josep
125
et d’énergie atomique ; enfin, le règlement du «
problème
agricole de l’Europe » étudié sous l’angle d’une union régionale sera
126
ue, elles avaient posé d’une manière mémorable le
problème
de « l’esprit européen » dans le monde bouleversé de l’après-guerre.
127
aient alerté l’attention d’une large élite sur le
problème
européen. Elles avaient contribué à créer un climat favorable et pres
128
dérale. Des comités permanents s’occuperaient des
problèmes
politiques, sociaux, économiques, coloniaux, etc. Leurs dirigeants fo
129
ppé par la similitude de leur manière de poser le
problème
européen, c’est-à-dire de fonder les efforts pour l’union économique
130
, 1949. Sur La Haye, on pourra consulter aussi Le
Problème
de l’union européenne, par Olivier Philip, 1950, et mon Europe en je
131
s. Elles empêchent simplement de bien traiter ces
problèmes
. Ce statut des frontières, doublement déficient, est caractéristique
132
ités économiques intelligibles. Je ne sais si les
problèmes
profonds que pose leur balance commerciale (laquelle ne saurait être
133
pays à la fois…) ne sont pas le type même de faux
problèmes
, résultant de la seule fiction d’économies dites nationales, qui ne c
134
taires et personnelles. Si sérieux que soient les
problèmes
de prix du lait, du blé ou même du vin, il est clair que l’Europe des