1 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
1 t le relie, le transporte au-delà de toute morale profane et lui dit à son tour comme Augustin à celui que sa foi délivre de la
2 tendre à des régions nouvelles de notre existence profane . 9. Cf. L’Amour et l’Occident , 1939. Une version révisée de cet
2 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1956)
3 arantit la valeur de cette superstition, dont nul profane n’oserait encore douter qu’elle se place dans le sens de l’Histoire,
3 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un centre qui doit être partout (mai 1958)
4 scendant, d’une tout autre structure que l’espace profane , compatible avec une multiplicité et même avec une infinité de centre
4 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
5 énaire entre le sacré, créateur des tabous, et le profane , qui naît de leur violation, mais aussi entre la sagesse et la politi
6 truosité ou de la faiblesse, révèlent un refus de profane , une insubordination, un désir démesuré et démesurément passionné d’a
5 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur une phrase du « Bloc-notes » (mars 1959)
7 ané par cette mise en scène, ce qui devait rester profane est sacralisé par l’horreur. Tout est faux, insondablement faux, perd