1 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
1 -à-dire s’abandonner à son génie dialectique, aux projets de poète et de philosophe qu’il avait conçus pendant son séjour à l’A
2 1953, Preuves, articles (1951–1968). À propos de la crise de l’Unesco (mars 1953)
2 aux présidents de ses commissions, que tel ou tel projet « sert le pays », c’est-à-dire sert sa politique ou son tourisme, ses
3 , et finalement certains partis. Admettons que le projet soit retenu. La délégation nationale votera pour lui à l’Assemblée de
3 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
4 e Littré ajoute que le fédéralisme fut aussi un «  projet attribué aux girondins de rompre l’unité nationale ». Rien d’étonnant
4 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
5 . Ce qui équivaut à dire que l’état spirituel, le projet subjectif, le motif personnel, le but dernier, etc., étaient considér
5 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur Suez et ses environs historiques (octobre 1956)
6 es, mais les difficultés firent évanouir ce grand projet . » (Voltaire, Essai sur les mœurs.) L’idée du canal sera reprise par
7 ) L’idée du canal sera reprise par les Français : projets de Girardin en 1685, de Savary en 1696, de Volney en 1789, enfin de l
6 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur deux écrivains politiques (juin 1957)
8 lèvent de la presse communiste, au seul énoncé du projet . Il serait plus habile de feindre que ces mesures n’ont rien de gênan
9 u PC, encore qu’il soit normal d’en discuter : le projet de Code civique, vraie nouveauté du livre, serait à tous égards plus
7 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la fabrication des nouvelles et des faits (février 1958)
10 e un nombre immense de naissances et de morts, de projets et d’échecs, d’actes et d’inventions, de discours et de prises de con
8 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un centre qui doit être partout (mai 1958)
11 ’ose guère invoquer que des calculs à l’appui des projets que l’on rêve. Les archétypes régissent en réalité nos imaginations e
9 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (I) (août 1958)
12 s sauvages. Chateaubriand. Pendant la révolution, projet attribué aux girondins de rompre l’unité nationale et de transformer
13 peuples, et que c’est le nationalisme qui a pour projet de rompre l’unité continentale et de transformer l’Europe, jadis rein
10 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
14 imagine pas du tout comme quelqu’un qui forme ses projets sournoisement, et calcule avec ruse ses intrigues… La réflexion lui f
11 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
15 ’Europe, qui la propose ? Les Suisses devant le projet d’union de l’Europe La Suisse est née de l’Europe et en détient le
16 ève » que Rousseau signe ses exposés critiques du projet de paix perpétuelle de l’abbé de Saint-Pierre, puis ses Considération
17 c’est lui qui rédige, pendant les Cent-Jours, le projet de fédération européenne137 que signe — hélas ! il est trop tard ! — 
18 rectement de l’expérience suisse en rédigeant son projet d’Organisation d’une société d’États européens (1879). Auteur du Code
19 é de nos jours par les fédéralistes européens, le projet très précis du juriste zurichois reste une des hypothèses de travail
20 euple l’est sans doute plus encore, s’agissant du projet européen. Le scepticisme dominait, et comme on tient pour réaliste, e
21 es partis pris de la majorité et ses routines, le projet d’union de l’Europe passait généralement pour chimérique. « Fumeux id
22 uefois de la culture, croient distinguer dans les projets d’Europe unie une « politique d’unification qui vise à mêler les peup
23 elles, et concerterait avec elles les termes d’un projet de fédération politique de l’Europe entière. Ce projet, compatible pa
24 t de fédération politique de l’Europe entière. Ce projet , compatible par définition avec les raisons d’être de l’État suisse (
25 tive prise par la Suisse et une absence totale de projet qui ferait de ce pays un musée. Il est modeste, sans excès. Je vois e
26 petit pays, pluraliste, et neutre au surplus. Nul projet mieux que le mien ne saurait la servir ! Il ne suppose en somme qu’un
27 oyen, j’essaie d’imaginer mes réactions devant un projet comme le mien, s’il émanait d’un étranger. Supposons la chose faite.
28 aut-il qu’elle le dise. 136. Voir l’Extrait du projet de paix perpétuelle, publié en 1761, et le Jugement sur la paix perpé
12 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
29 des contacts réguliers, des études préparant des projets communs, et même certains accords, officiellement signés, tendant à u
30 parler de ces deux autres. On me répondit que mon projet était trop long, qu’il parlait de fédéralisme et qu’on « ne pouvait p
31 des libéraux, principaux auteurs des analyses et projets formulés par les premiers congrès. Un an plus tard, grâce au génie ré
32 ix. (Le général de Gaulle allait proposer le même projet en 1958.) Reynaud fut le seul tempérament révolutionnaire qui se mani
33 aginer ni vraiment créer quoi que ce soit. Un tel projet ne serait-il pas une manière d’esquiver la vraie tâche de l’aile marc
13 1970, Preuves, articles (1951–1968). Dépasser l’État-nation (1970)
34 nomique défini par la nature des choses ou par un projet rationnel. Puissance ou liberté Or voici l’ironie tragique de no