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ue l’époque bourgeoise semble avoir oublié, et le
prolétariat
hérite de cette erreur. Si la culture est tout d’abord prise de consc
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angent de signe et tournent au fléau en créant le
prolétariat
, lorsque l’ambition déchaînée des Napoléons de l’industrie s’en empar
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été lourdement payés — et le sont encore — par le
prolétariat
industriel, qui a subi tous les « frais humains » de l’opération dès
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orain de l’auto. La technique naissante a créé le
prolétariat
industriel, mais c’est elle seule qui peut le sauver de sa condition
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s contre le travail à la chaîne qui libéreront le
prolétariat
, mais le remplacement des travailleurs serviles par des robots. L’usi
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stifier au nom du même prétexte : la dictature du
Prolétariat
, dogme intangible du marxisme. Mais les crimes de Staline illustraien
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’a jamais gêné Staline lui-même47. « Dictature du
Prolétariat
» est une autre figure de langage. Mais comment fait-on cela ? Qui fa
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es non payés), la direction collégiale (au nom du
prolétariat
non consulté) suppose la dictature, et K. suppose Staline, qui l’a fa
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chefs soviétiques avec le Parti, du Parti avec le
Prolétariat
, et de celui-ci avec le mouvement de l’Histoire, qui, par définition,
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arder pur le second ? Ou dissocier le Parti et le
Prolétariat
? (On recule encore devant le troisième blasphème…). Car l’erreur a b
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parle de plébiscite (du latin plebs, populace ou
prolétariat
, par contraste avec populus, le peuple entier) quand une majorité tro