1 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le dialogue Europe-Amérique (août-septembre 1952)
1 , et d’une manière générale à n’importe qui de se prononcer sur n’importe quoi qui n’est pas dans la situation concrète de l’Euro
2 1953, Preuves, articles (1951–1968). Les raisons d’être du Congrès (septembre 1953)
2 evint soudain très clair du seul fait qu’il était prononcé à portée de voix des tyrans. À la suite du meeting mémorable de Berli
3 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
3 milieu du xxe siècle ? Une phrase déjà fameuse, prononcée l’an dernier par le premier président de l’Assemblée de Strasbourg, P
4 1954, Preuves, articles (1951–1968). Il n’y a pas de « musique moderne » (juillet 1954)
4 amicale au regard des exclusives catégoriques que prononcent les disciples de Schönberg contre toute œuvre tonale, jugée « réactio
5 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur Voltaire (février 1957)
5 nt si le PC pâtirait réellement de l’interdiction prononcée — ce qui est loin d’être toujours sûr — mais encore si la classe ouvr
6 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur le crépuscule d’un régime (octobre 1957)
6 Il me paraît fort expédient quand il s’agit de se prononcer sur une personne, entre hommes d’une qualité sensiblement égale, comm
7 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
7 ceux que la Science et l’Hygiène pourraient faire prononcer par l’État. La passion qui voudrait les violer ne serait plus condamn
8 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
8 ’action de l’un des deux. La morale et la société prononcent alors leurs décrets. S’ils suffisent à maintenir l’équilibre du coupl
9 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
9 sprit, etc., 1931-1939) il me demandait d’y venir prononcer un discours. Et certes, durant mes années américaines, je n’avais ces
10 t se passait comme si j’avais jugé que le fait de prononcer un keynote speech était une suffisante prestation. Notes du 28 août,
11 » 163. Sforza, ministre des Affaires étrangères, prononça en français le discours inaugural, dans l’ancienne salle des Faisceau