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Il me semble au contraire qu’elle réagit avec un
réalisme
impitoyable et sain. La foi chrétienne elle-même doit aujourd’hui se
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représenté par les tableaux de genre militaire du
réalisme
socialiste, qui ne se distinguent de la peinture bourgeoise d’environ
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auvais goût, ni au goût des lectures faciles. (Le
réalisme
socialiste s’est borné à les rendre obligatoires.) Prenons un exemple
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culturel de l’Europe ». De Gasperi savait que le
réalisme
veut que notre union se fonde dans les esprits, non sur des textes ma
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st littéralement ce qu’il reprochait, au nom d’un
réalisme
sarcastique, à notre conception libérale de la vie. L’élimination pro
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ion le ton « férocement facétieux » du roman, son
réalisme
impitoyable et ses plaisanteries un peu folles, sauvées (de justesse
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croit l’enquête, vers une version américaine du «
réalisme
socialiste », d’où l’amour-passion est exclu. Or je vois triompher da
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ntes sur les chimères de Notre-Dame illustrent ce
réalisme
de la forme, hors de quoi il n’est qu’indiscrétion, et qui livre la c
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de Claudel : ce serait une sorte de généalogie du
réalisme
poétique. Telle fut ma première impression. Je la vois aujourd’hui
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uira nécessairement à l’intégration militaire. Le
réalisme
commande de se borner à des mesures modestes de coopération, résultan