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que Coupable-Non coupable, qui sont en réalité le
récit
à peine déguisé de ses fiançailles et l’analyse interminable des moti
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jeunir. » Et Kierkegaard ajoute, en commentant ce
récit
: « Cruauté nécessaire ! » Il la quitte avec une froideur affectée, p
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la tolérance est un joyeux fatras. On y trouve un
récit
de l’affaire Calas, des considérations sur la tolérance chez les Grec
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s est illustré de manière exemplaire par le petit
récit
de Thomas Mann intitulé Mario et le Magicien. Les partis dans une
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es besoins de la narration et de la rhétorique du
récit
. Dans une société comme la nôtre, l’amour-passion peut-il encore trou
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ent offrir au lecteur : critique d’une société ou
récit
d’une passion ? On connaît ces paysages fantastiques de la Renaissanc
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ès tôt (comme dans Tristan), mais voici le ton du
récit
: « Ma très photogénique mère mourut dans un accident capricieux (piq
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par point, et que l’on peut croire délibérée, du
récit
de l’erreur « fatale » de Brangien.) Comme dans Tristan, il est vrai,
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e mariage au nom de l’amour-passion anime tout le
récit
. Comme dans Tristan, l’on sent que l’auteur n’est pas intéressé par l
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se est, de toutes, celle qui se prête le mieux au
récit
. La sexualité pure et l’amour du prochain ne sont vrais qu’en acte, e
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-être jamais mieux que dans l’élan lyrique de son
récit
. Lié plus que tout autre à la littérature par une complicité d’origin
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par Fidel Castro. Je lis dans l’un d’entre eux le
récit
des dernières heures d’un partisan de Batista, condamné par un tribun
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t les modèles des personnages de ses Dialogues et
récits
physiognomoniques, officiers, acteurs ou artistes, grands maniaques d
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u’on arrive et s’en aille à l’improviste, que les
récits
soient brefs — surtout pas d’analyses ! — les propos vifs, spontanés,
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x non calculés, l’émotion réelle au départ, et ce
récit
du voyage fait au bon peuple de Moscou sur le ton du paysan qui revie