1 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
1 nt son séjour à l’Académie de Berlin ; mais il se résout à passer simplement son examen de théologie, par obéissance aux désir
2 nce Olivier a tiré d’Hamlet. Hamlet blessé, enfin résolu à l’action, monte sur une sorte de tribune élevée, et, de là, d’un sa
2 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
3 ulte que la seule manière de la penser, en vue de résoudre ses problèmes, est la manière fédéraliste. Tant que l’on persistera à
3 1954, Preuves, articles (1951–1968). De Gasperi l’Européen (octobre 1954)
4 alie croyante et libérale, et qui ne peuvent être résolus qu’au-delà du tête-à-tête de frères ennemis. Accusé de cléricalisme p
4 1954, Preuves, articles (1951–1968). Politique de la peur proclamée (novembre 1954)
5 nt la Russie au reste du monde qui ne puisse être résolu par voie de négociations. » Relisez ces deux phrases et ne riez pas.
5 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
6 un trithéisme mythologique ou rationalisé ? Pour résoudre en doctrine ce débat séculaire19, sous la pression croissante des hér
7 efuge ultime de l’idée de matérialité, l’atome se résolvait en une sorte de vide animé d’on ne savait trop quoi, sauf que « cela 
8 it cru pouvoir éliminer. Le Cosmos tout entier se résout en un voile tissé d’ondes animant le vide30. Le monde phénoménal n’es
6 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur le pouvoir des intellectuels (juillet 1957)
9 à changer ses données et ne contribue guère à le résoudre . On se retourne alors vers les réalités qui sont censées intéresser l
7 1957, Preuves, articles (1951–1968). L’échéance de septembre (septembre 1957)
10 st un régime de crise, un moyen de gouverner sans résoudre la crise et même en s’appuyant sur elle. Mais ce n’est pas du devenir
11 cessez-le-feu, qui doit intervenir absolument, ne résoudra rien. Ni aucune décision politique imposée par la majorité absurdemen
12 ntéressant l’humanité entière, et qu’elle ne peut résoudre seule, mais qu’elle seule, tant à cause de ses vertus que de ses défa
8 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur le crépuscule d’un régime (octobre 1957)
13 s dépassée. On va me couper la tête, mais cela ne résoudra rien. Voulez-vous que je devienne bien sérieux ? Je vous confierai qu
9 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1957)
14 mondiales et que nos divisions nous empêchent de résoudre  ? 2° S’il y a problème, et si vous refusez les mesures concrètes que
15 u’elle a fait naître, le problème qu’elle voulait résoudre est dépassé. Le charbon et l’acier étant mis en commun, sans parler d
10 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (II) (septembre 1958)
16 et la demande, par exemple, finit toujours par se résoudre dans le compromis concret qu’on nomme un prix. Mais deux religions, d
17 uvait pas dans les réalités autant de problèmes à résoudre (après étude) mais autant de prétextes à « réaffirmer son attachement
11 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur un chassé-croisé d’idéaux et de faits (novembre 1959)
18 s’en remettre à la « compétition pacifique » pour résoudre tous les conflits, c’est le libéralisme du xixe siècle, c’est ce que
19 nt ses buts et qui n’a plus de grands problèmes à résoudre . La force du régime soviétique… c’est qu’il constitue avant tout une
20 uire… et de redevenir enfin le peuple confiant et résolu que nous sommes en réalité. Je ne vois guère moins de sophisme dans
12 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
21 nstant, de la durée et de l’éternité. Celui qui a résolu ce problème dans sa vie est seul en mesure de condamner Don Juan et T
13 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
22 me parfaitement homologue à celui que la Suisse a résolu , avec ses vingt-cinq petits cantons souverains. La différence des sup
23 ns : ses dilemmes sont plus clairs, mais rarement résolus . Il n’en arrive pas moins que les nations, comme les individus, meure