1 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
1 e opposé à l’esprit de système et au rationalisme rhétorique . Il doit rester incompréhensible à ceux qui, n’apercevant pas de diff
2 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
2 s expressions courantes en temps de guerre. Cette rhétorique émeut des millions d’hommes, qui en oublient du même coup leurs rudim
3 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (II) (septembre 1958)
3 signifie. C’était une sorte d’activité abstraite, rhétorique , qui ne trouvait pas dans les réalités autant de problèmes à résoudre
4 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le vocabulaire politique des Français (novembre 1958)
4 » Cette phrase bizarre esquisse une distinction — rhétorique ou sincère, je ne sais — entre Dieu et le Général ; mais elle échoue
5 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
5 ersona, pour les besoins de la narration et de la rhétorique du récit. Dans une société comme la nôtre, l’amour-passion peut-il en
6 ictant impérieusement — à l’insu des auteurs — la rhétorique profonde de leur composition. Passons à l’expérience sans plus de pré
6 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur une phrase du « Bloc-notes » (mars 1959)
7 plus le faire qu’à coups de bâtons et de pages de rhétorique . Déroulède est bien mort, Aragon ne suffit pas. Jean Monnet fait tout
7 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
8 nsée n’est nullement, chez Kassner, un procédé de rhétorique , une manière de sauter les évidences ou platitudes intermédiaires. El