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ntifique, bourgeoise et individualiste de l’amour
romanesque
. Il estime à bon droit que la passion est une force antisociale, qui
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sieurs notes pour le livre. Au terme d’un périple
romanesque
où tous les thèmes constants de la passion sont apparus et ont grandi
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uels et même mystiques, qu’il échappe à la fin au
romanesque
et nous fait entrevoir un genre nouveau, qui pourrait intégrer dans l
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rs pourraient-ils encore provoquer les épiphanies
romanesques
de Tristan et de l’amour-passion ? Le totalitarisme soviétique et le