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ir par la vertu magique d’un acte sacrificiel les
rythmes
du Cosmos et les lois de la fécondité — on dirait aujourd’hui : pour
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s la suite de ses ouvrages composés et publiés au
rythme
accéléré de trois ou quatre volumes par an, le public s’écarta, effra
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ait et ne saura jamais s’il ne fait qu’épouser un
rythme
errant, ou s’il le crée tout en croyant le suivre. S’avancer ainsi da
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liberté… On proteste au nom de la Nature, de ses
rythmes
majestueux, et du contact avec la terre, contre un monde qui devient
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plutôt que du bien, tout en séparant l’homme des
rythmes
naturels, considérés sous leur seul aspect régulateur. Pessimisme hum
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niement de sa machine que pour mieux l’adapter au
rythme
de celle-ci, en vue d’un rendement calculé. C’est alors du rendement
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ion, c’est-à-dire du désir infini qui échappe aux
rythmes
naturels et joue le rôle d’un absolu préférable à la vie elle-même. L
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mieux préservées (par le chant, par la danse, le
rythme
, l’émotion) ; — celles de l’esprit enfin, apanage millénaire de l’Ind
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et alors à la musique d’assouplir ses allures aux
rythmes
des danses dithyrambiques, de s’abandonner impunément à un sentiment
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a plus une bouchée à donner à cet affamé.121 Le
rythme
allègre ou endiablé, le presto de Don Juan, son humeur insolente et g
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ns l’allure extérieure des personnages, dans leur
rythme
. On imagine Don Juan toujours dressé sur ses ergots, prêt à bondir qu