1 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
1 ir par la vertu magique d’un acte sacrificiel les rythmes du Cosmos et les lois de la fécondité — on dirait aujourd’hui : pour
2 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
2 s la suite de ses ouvrages composés et publiés au rythme accéléré de trois ou quatre volumes par an, le public s’écarta, effra
3 ait et ne saura jamais s’il ne fait qu’épouser un rythme errant, ou s’il le crée tout en croyant le suivre. S’avancer ainsi da
3 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
4 liberté… On proteste au nom de la Nature, de ses rythmes majestueux, et du contact avec la terre, contre un monde qui devient
5 plutôt que du bien, tout en séparant l’homme des rythmes naturels, considérés sous leur seul aspect régulateur. Pessimisme hum
6 niement de sa machine que pour mieux l’adapter au rythme de celle-ci, en vue d’un rendement calculé. C’est alors du rendement
4 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
7 ion, c’est-à-dire du désir infini qui échappe aux rythmes naturels et joue le rôle d’un absolu préférable à la vie elle-même. L
5 1960, Preuves, articles (1951–1968). Les incidences du progrès sur les libertés (août 1960)
8 mieux préservées (par le chant, par la danse, le rythme , l’émotion) ; — celles de l’esprit enfin, apanage millénaire de l’Ind
6 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
9 et alors à la musique d’assouplir ses allures aux rythmes des danses dithyrambiques, de s’abandonner impunément à un sentiment
10 a plus une bouchée à donner à cet affamé.121 Le rythme allègre ou endiablé, le presto de Don Juan, son humeur insolente et g
7 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
11 ns l’allure extérieure des personnages, dans leur rythme . On imagine Don Juan toujours dressé sur ses ergots, prêt à bondir qu