1
e problème de l’influence américaine. Lors de la
séance
de clôture de « L’Œuvre du xxe siècle », à Paris, André Malraux s’es
2
uves publiera ultérieurement un compte rendu des
séances
au cours desquelles vingt rapports concernant la liberté de la scienc
3
des débats qui se déroulèrent pendant six longues
séances
dans le huis clos doré d’un vieux palais de Rome, mais bien d’en comm
4
ons, formulant son propre jugement. Et lors de la
séance
finale au Capitole, il se leva pour lire un magistral discours synthé
5
ntes réunions de professeurs et d’érudits que des
séances
houleuses de parlements modernes, ou même des conventions de partis e
6
ervenir en force. À l’intérieur, les incidents de
séance
se multiplient. « On dirait un essaim de frelons », note Grégoire. On
7
e profession y viennent pour s’ennuyer durant les
séances
et s’amuser d’autant mieux après. Mais une sorte de passion très sing
8
le sénateur hollandais Kerstens, qui présidait la
séance
; et l’un des trois rapporteurs, qui est aujourd’hui le seul survivan
9
ique C’est en effet pendant les suspensions de
séance
au Montreux-Palace que l’idée avait été lancée, et tout de suite disc
10
prouver par acclamations » et serait donc lu à la
séance
de clôture. Des représentants des trois sections l’examineraient avan
11
ette pointe fédéraliste du Congrès… Je quittai la
séance
au milieu de l’après-midi et allai me recueillir à Westminster Abbey.
12
r parcheminé : il était entendu qu’à la fin de la
séance
de clôture où je lirais ce texte, tous les congressistes, Churchill e
13
la radio, dix minutes avant l’heure fixée pour la
séance
de clôture, on vint me chercher : Duncan Sandys désirait me voir d’ur
14
oir d’urgence dans la salle des Chevaliers, où la
séance
plénière de la section économique prenait fin. Je vis Churchill debou
15
sable », Paul van Zeeland, qui devait présider la
séance
de clôture du Congrès fit accepter un compromis : je lirais le Messag