1 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
1 nc Hamlet tel que nous le décrivent les premières scènes du drame de Shakespeare, et Kierkegaard tel qu’il se montre dans son
2 vers ses compagnons, qui assistaient de loin à la scène , et leur fait jurer par trois fois de garder le secret sur cette révé
3 C’est bien ainsi qu’Hamlet pourrait parler de la scène du spectre. Et, d’autre part, c’est l’influence de son père (auquel i
4 la biographie de Kierkegaard avait été mise à la scène deux siècles et demi avant d’être vécue. Le style élisabéthain de Kie
5 s au monde, nous sommes embarqués, nous sommes en scène malgré nous… Telle est l’angoisse de la vocation. Je disais tout à l’
6 ême… 3. Cette image du saut me fait songer à la scène finale du beau film que Laurence Olivier a tiré d’Hamlet. Hamlet bles
2 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
7 Iseut trahit tous ses serments sacrés, et dans la scène de l’ordalie par le fer rouge, en arrive à duper Dieu lui-même. De fa
3 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
8 ntés, rappelle visiblement l’état de transe de la scène des aveux dans Tristan, mais toute la description du lieu vise précis
9 est transpercée par le feu du couchant », et les scènes décisives de ce roman de poète sont toujours éclairées par le même so
10 mlin, nous en lisons les termes anticipés dans la scène où Komarovski (l’intrigant qui a su détourner à son profit le Pouvoir
4 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur une phrase du « Bloc-notes » (mars 1959)
11 un tribunal siégeant en plein air et de nuit. La scène est éclairée par des phares de camions. Des milliers de spectateurs h
12 devait rester sacré est profané par cette mise en scène , ce qui devait rester profane est sacralisé par l’horreur. Tout est f
5 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
13 e impatience rigoureuse. Une manière d’occuper la scène en deux répliques, d’imposer une allure bien « rassemblée », n’admett
14 et de la liberté. 88. C’est là qu’on trouvera la scène du Maître qui tire, dans l’obscurité, une première flèche au centre d
6 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
15 mêmes ! » Que s’est-il passé entre-temps ? Sur la scène tout au moins — et l’on veut dire : dans ce que Nietzsche exprime con
7 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
16 spendre sa course. Au contraire, Tristan vient en scène avec l’espèce de lenteur somnambulique de celui qu’hypnotise un objet
8 1963, Preuves, articles (1951–1968). Le mur de Berlin vu par Esprit (février 1963)
17 t , grâce au mur l’Ouest a pu « bannir Brecht des scènes allemandes et empêcher une information objective sur le monde communi
9 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
18 t où le principe des nationalités domine toute la scène européenne comme une puissance satanique, au moment où les civilisati
10 1966, Preuves, articles (1951–1968). André Breton (novembre 1966)
19 avait pas admis et célébrés !) J’ai vu plus d’une scène de ce genre aux réunions du groupe, d’ailleurs variable et quelque pe
11 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
20 par Silva, autour d’une table, oui, mais sur une scène , et face à une salle archicomble. Je n’ai en main qu’un texte encore