1 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
1 réjugés de son milieu, il les déclare absurdes ou scandaleux . Cette manière d’opposer l’individu au tout, et d’attribuer l’absurdi
2 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
2 conduite, dans sa duplicité plus douloureuse que scandaleuse , ne manque pas d’analogies précises avec la conduite d’Hamlet devant
3 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
3 au nom du « peuple » hongrois étaient proprement scandaleux , et visiblement fabriqués. Benda déclarait, au contraire : « Le malhe
4 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (fin) (mai 1957)
4 intacte. 5. Si l’on entend prévenir l’éventualité scandaleuse d’une défaite américaine facilitée par la neutralité de l’Europe, on
5 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (II) (septembre 1958)
5 omposer avec les circonstances est une cruelle et scandaleuse nécessité, à laquelle les partis ne se plieront qu’à la dernière extr
6 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
6 ’elle est. Son immaturité perverse me fascine. Le scandaleux héros (par antiphrase) de mon roman (éduqué en Europe, j’y insiste) n
7 . Je n’entends pas voiler ni excuser le caractère scandaleux du roman, car il apparaît essentiel, et l’auteur ne manque pas une oc
8 é et ce n’est pas Byron, ce n’est pas décadent ni scandaleux . S’agirait-il moins d’un inceste que des relations entre Animus et An
9 ci commencent à faiblir, où les violer est encore scandaleux mais n’entraîne pas la mise à mort instantanée, physique ou sociale,