1 itionné depuis des siècles les relations des deux sexes en Occident, encore que le jeune Européen moyen ne ressemble pas plus

2 igieux, forme personnaliste des rapports des deux sexes , puisqu’il suppose l’union au sein de la distinction, il est normal q

3 u xixe s’interdisant de parler de l’argent et du sexe , d’où le choc révélateur produit par Marx et Freud), la passion qui e

4 i se cherchent : Ce désir d’un double de l’autre sexe qui nous ressemble absolument tout en étant un autre, d’une créature

5 mmence précisément avec l’usage non instinctif du sexe (j’entends l’usage non nécessaire biologiquement). Et l’amour, que Ni

6 a guerre est le moyen, dont la haine mortelle des sexes est la base »119. Cet amour dont Benjamin Constant a bien dit qu’il e

7 t typiquement adolescent, et comme indépendant du sexe . S’il réussit à se fixer sur un seul être, sans obstacles insurmontab

8 en il renonce et les hait. Bientôt aimanté par le sexe , il y prend une nouvelle énergie, ou des raisons nouvelles de se reni

9 ée une éternité angélique. L’autre prétend que le sexe lui suffit : à la durée il n’oppose que l’instant des brèves rencontr