1 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
1 œuvres, il se vit abandonné dans la plus complète solitude qu’ait jamais connue un grand esprit. Un an plus tard, épuisé par ce
2 d’une vocation en exercice. Il parle de sa totale solitude . Il se dépeint non seulement privé de confident, mais seul avec un mo
2 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
3 tant il en est bien ainsi : huit routes et quelle solitude  ! … Tout près de là, un bosquet fermé de haies, porte le nom d’« Encl
4 ute que lorsqu’il peut la dire « sienne » dans la solitude de son cœur, « c’est alors seulement que nous sommes unis ».) Régine
5 core : quelques années de professorat, une longue solitude errante, la folie à 44 ans. L’un et l’autre ont produit en une quinza
3 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
6 a trahison, les frustrations ou l’impuissance, la solitude ou l’obsession de l’abandon, l’angoisse ou la vulgarité d’esprit et d
4 1968, Preuves, articles (1951–1968). Marcel Duchamp mine de rien (février 1968)
7 quelques chevalets de peinture. Luxe inouï de la solitude et du silence. Un rideau de pins et l’eau tout de suite, au pied de l
8 e passe maintenant, le silence, la lenteur, et la solitude . Aujourd’hui, on nous traque. — Oui, dis-je, mais tout dépend des vra