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promise. Certes, la table ronde n’a pas trouvé de
solutions
faciles, ni de recettes miraculeuses pour supprimer le mal et assurer
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vraiment valables. On ne saurait donc chercher la
solution
ni dans la réduction de l’un des termes, ni dans une alternance du ty
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L’usine sans ouvriers, réalité prochaine, sera la
solution
du problème de « l’ouvrier esclave de la machine ». Mais les faux p
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us politiques, mais consisteront à faire face aux
solutions
massives proposées par la Science, dans les domaines jusqu’ici réserv
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cent autres raisons nous imposent comme la seule
solution
viable. « Je n’ai jamais trouvé qu’il y ait la moindre force dans l’i
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de suite — n’ont certainement pas contribué à la
solution
du problème, n’ont pas mordu sur la réalité. Mais nos démocraties éta
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« Européistes » sont en train de réaliser, quelle
solution
meilleure proposez-vous ? 3° Qu’avez-vous fait jusqu’ici pour l’Europ
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ent à l’union nécessaire. Pour les tourner (seule
solution
pratique), créons des mécanismes irréversibles : la CECA, le Marché c
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dans la nouvelle Constitution la formule de leur
solution
. Deux sont purement internes : le régime des partis et la stabilité d
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en commun ceci : qu’ils ne pourraient trouver de
solutions
tout à la fois durables et compatibles entre elles que dans un systèm
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fférences qui existent en fait, le refus de toute
solution
fédéraliste interne, enfin la croyance à la vertu suffisante de la na
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ux attitudes d’esprit inconciliables, dictant des
solutions
concrètes radicalement incompatibles. On ne peut vouloir à la fois l’
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ixer leur sens, mais il paraît clair que la seule
solution
qui soit commune aux deux problèmes, celui de l’Algérie et celui de l
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’Algérie et celui de l’Europe, n’est autre que la
solution
du fédéralisme intégral. Cette expression désigne une doctrine réali
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aler des difficultés sémantiques et suggérer leur
solution
. Il y a longtemps que la Logique de Port-Royal m’a convaincu qu’on pe
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c’est l’évidence. Ou bien dites-nous quelle autre
solution
? Le vrai danger, c’est notre désunion. Et non seulement devant une g
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onquis. « Voilà qui est zen, conclut Kassner, ou
solution
d’un problème zen par le poète, par la langue, la langue vivante des
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btus qui ont fait leurs preuves en 1914. Reste la
solution
fédéraliste, l’union dans la diversité. Appuyée sur les Communautés,
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avenir. c) L’Europe fédérée reste ainsi la seule
solution
praticable. Unir dix-neuf États à l’Ouest (plus sept à l’Est un jour
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e nivelées par décrets, on cherche en vain quelle
solution
a la moindre chance de succès, s’agissant d’unir nos pays, hors une s
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e de succès, s’agissant d’unir nos pays, hors une
solution
fédérale. Ici, l’exemple de la Suisse… On s’écrie aussitôt qu’il ne s
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s dorénavant de prendre des initiatives. Aux deux
solutions
en présence à l’échelle du continent — sacrifier les patries à l’unio
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la Suisse se doit d’en opposer une troisième, la
solution
fédéraliste, qui maintient les patries et l’union. Mais je réitère :