1 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
1 promise. Certes, la table ronde n’a pas trouvé de solutions faciles, ni de recettes miraculeuses pour supprimer le mal et assurer
2 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
2 vraiment valables. On ne saurait donc chercher la solution ni dans la réduction de l’un des termes, ni dans une alternance du ty
3 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
3 L’usine sans ouvriers, réalité prochaine, sera la solution du problème de « l’ouvrier esclave de la machine ».   Mais les faux p
4 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur le rêve des sciences (décembre 1956)
4 us politiques, mais consisteront à faire face aux solutions massives proposées par la Science, dans les domaines jusqu’ici réserv
5 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (II) (avril 1957)
5 cent autres raisons nous imposent comme la seule solution viable. « Je n’ai jamais trouvé qu’il y ait la moindre force dans l’i
6 1957, Preuves, articles (1951–1968). L’échéance de septembre (septembre 1957)
6 de suite — n’ont certainement pas contribué à la solution du problème, n’ont pas mordu sur la réalité. Mais nos démocraties éta
7 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1957)
7 « Européistes » sont en train de réaliser, quelle solution meilleure proposez-vous ? 3° Qu’avez-vous fait jusqu’ici pour l’Europ
8 ent à l’union nécessaire. Pour les tourner (seule solution pratique), créons des mécanismes irréversibles : la CECA, le Marché c
8 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (I) (août 1958)
9 dans la nouvelle Constitution la formule de leur solution . Deux sont purement internes : le régime des partis et la stabilité d
10 en commun ceci : qu’ils ne pourraient trouver de solutions tout à la fois durables et compatibles entre elles que dans un systèm
11 fférences qui existent en fait, le refus de toute solution fédéraliste interne, enfin la croyance à la vertu suffisante de la na
12 ux attitudes d’esprit inconciliables, dictant des solutions concrètes radicalement incompatibles. On ne peut vouloir à la fois l’
13 ixer leur sens, mais il paraît clair que la seule solution qui soit commune aux deux problèmes, celui de l’Algérie et celui de l
14 ’Algérie et celui de l’Europe, n’est autre que la solution du fédéralisme intégral. Cette expression désigne une doctrine réali
9 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le vocabulaire politique des Français (novembre 1958)
15 aler des difficultés sémantiques et suggérer leur solution . Il y a longtemps que la Logique de Port-Royal m’a convaincu qu’on pe
10 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur une phrase du « Bloc-notes » (mars 1959)
16 c’est l’évidence. Ou bien dites-nous quelle autre solution  ? Le vrai danger, c’est notre désunion. Et non seulement devant une g
11 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
17 onquis. « Voilà qui est zen, conclut Kassner, ou solution d’un problème zen par le poète, par la langue, la langue vivante des
12 1963, Preuves, articles (1951–1968). Une journée des dupes et un nouveau départ (mars 1963)
18 btus qui ont fait leurs preuves en 1914. Reste la solution fédéraliste, l’union dans la diversité. Appuyée sur les Communautés,
13 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
19 avenir. c) L’Europe fédérée reste ainsi la seule solution praticable. Unir dix-neuf États à l’Ouest (plus sept à l’Est un jour
20 e nivelées par décrets, on cherche en vain quelle solution a la moindre chance de succès, s’agissant d’unir nos pays, hors une s
21 e de succès, s’agissant d’unir nos pays, hors une solution fédérale. Ici, l’exemple de la Suisse… On s’écrie aussitôt qu’il ne s
22 s dorénavant de prendre des initiatives. Aux deux solutions en présence à l’échelle du continent — sacrifier les patries à l’unio
23 la Suisse se doit d’en opposer une troisième, la solution fédéraliste, qui maintient les patries et l’union. Mais je réitère :