1 1953, Preuves, articles (1951–1968). « Nous ne sommes pas des esclaves ! » (juillet 1953)
1 geois. Fin d’un mythe, mais aussi d’un monstrueux sophisme . Allez redire, ô philosophes qui vantiez la violence ouvrière, « subs
2 1954, Preuves, articles (1951–1968). Tragédie de l’Europe à Genève (juin 1954)
2 isée CED. Elle y serait noyée et sans force. » Ce sophisme insultant va servir de slogan à la campagne neutraliste. Un revers fr
3 1954, Preuves, articles (1951–1968). De Gasperi l’Européen (octobre 1954)
3 pe par ces « grandes voix » débitant avec âme des sophismes vulgaires. De Gasperi parlait d’une voix sévère et fraternelle, avec
4 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
4 i tout à l’heure sur ce point : c’est le nœud des sophismes de K. Second argument : « La métamorphose qui porte les maîtres du K
5 indiquées : elles présentent le même caractère de sophisme concret, sans issue, conduisant à l’idée de rupture nécessaire. Comm
5 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur Suez et ses environs historiques (octobre 1956)
6 même, intervenir dans vos affaires ? A. Assez de sophismes et de provocations impérialistes ! Vous êtes riche, je suis pauvre, v
6 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la fabrication des nouvelles et des faits (février 1958)
7 l’a fait, que sans historiens plus d’Histoire. Le sophisme paraît éclatant. Si l’on y réfléchit avec quelque rigueur, il devient
7 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le vocabulaire politique des Français (novembre 1958)
8 tre Dieu et le Général ; mais elle échoue dans un sophisme . En effet, si Sartre préfère Dieu au Général, c’est qu’il peut nier l
8 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur un chassé-croisé d’idéaux et de faits (novembre 1959)
9 solent, mais que je crois sincère jusque dans ses sophismes . Il exprime un ardent désir de faire accepter la doctrine de la « coe
10 ous sommes en réalité. Je ne vois guère moins de sophisme dans cet argument que dans ceux de K. ; guère plus de justification a