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geois. Fin d’un mythe, mais aussi d’un monstrueux
sophisme
. Allez redire, ô philosophes qui vantiez la violence ouvrière, « subs
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isée CED. Elle y serait noyée et sans force. » Ce
sophisme
insultant va servir de slogan à la campagne neutraliste. Un revers fr
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pe par ces « grandes voix » débitant avec âme des
sophismes
vulgaires. De Gasperi parlait d’une voix sévère et fraternelle, avec
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i tout à l’heure sur ce point : c’est le nœud des
sophismes
de K. Second argument : « La métamorphose qui porte les maîtres du K
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indiquées : elles présentent le même caractère de
sophisme
concret, sans issue, conduisant à l’idée de rupture nécessaire. Comm
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même, intervenir dans vos affaires ? A. Assez de
sophismes
et de provocations impérialistes ! Vous êtes riche, je suis pauvre, v
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l’a fait, que sans historiens plus d’Histoire. Le
sophisme
paraît éclatant. Si l’on y réfléchit avec quelque rigueur, il devient
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tre Dieu et le Général ; mais elle échoue dans un
sophisme
. En effet, si Sartre préfère Dieu au Général, c’est qu’il peut nier l
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solent, mais que je crois sincère jusque dans ses
sophismes
. Il exprime un ardent désir de faire accepter la doctrine de la « coe
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ous sommes en réalité. Je ne vois guère moins de
sophisme
dans cet argument que dans ceux de K. ; guère plus de justification a