1
vrai, est décrite au somptueux chapitre intitulé
Souffles
d’un jour d’été. Il ne s’y passe rien qu’une longue conversation entr
2
son emphase criarde… Ils faisaient exception… le
souffle
de la passion se posait sur leur existence condamnée… Mais qui est L
3
Erwin Rohde — ce que j’aime en Schopenhauer : le
souffle
éthique, la croix, la mort, l’abîme… » Mais quelques années plus tard
4
Dans l’éclat sonore Dans la tourmente infinie Du
souffle
du Monde S’engloutir — S’abîmer — Inconscient — Joie suprême !132
5
me jamais résolue de ce nirvana romantique (où le
Souffle
du Monde est encore une « tourmente » !) que nous laissent les derniè